2-4-6-8. Voilà qui résume très bien la nouvelle Audi S5 2008: deux portes, quatre roues motrices, six rapports à commande manuelle et huit redoutables cylindres sous le capot. Pour les amateurs de coupés Audi, il y a bien sûr la petite TT, moins puissante, et la sensationnelle R8, deux fois plus dispendieuse. Or, si vous recherchez un bolide ultra rapide qui soit également pratique et relativement abordable, la S5 est peut-être la solution parfaite.
Design lascif
La silhouette est profilée et élégante -- plus que la majorité de ses frangines -- et elle se pavane avec grâce partout où la route mène son conducteur. À la fois veloutée et élancée, aguichante et musclée, la S5 que j'ai testée était l'équivalent automobile d'Anna Kournikova dans une robe moulante.
Les phares accentués d'une série de DEL constituent le principal trait distinctif de la voiture. On dirait une paire d'yeux aux sourcils froncés; le conducteur qui précède a tout intérêt à libérer la voie dès qu'il aperçoit cette physionomie intimidante. Décorée en outre de superbes roues en alliage de 19 pouces, l'Audi S5 fait tourner la tête des passants aussi vite qu'elle colle celle des passagers contre leur siège.
Les lignes fuyantes convergent vers l'arrière et accentuent les quatre embouts d'échappement, tandis que le toit de ce coupé de grand tourisme est marqué par un immense panneau vitré coulissant. Peu de voitures allemandes ont une présence visuelle aussi forte.
À l'intérieur
Avec ses cadrans inspirés de la moto, son poste de pilotage ultra sportif ainsi que son amalgame de couleurs sombres aux accents de chrome et d'aluminium, la S5 présente un habitacle typique d'une grande voiture sport. Tout est bien pensé et bien assemblé, comme le veut la coutume chez Audi. En fait, la qualité des matériaux et de la finition est de loin l'une des meilleures dans toute l'industrie.
Le moteur et le frein de stationnement s'activent simplement en appuyant sur un bouton. Par conséquent, étant donné l'absence d'un frein à main sur la console, le conducteur jouit d'une plus grande liberté de mouvement pour contrôler l'interface multimédia d'Audi (MMI).
Cela dit, j'ai quand même trouvé que les principales commandes étaient positionnées trop près du pilote, ce qui nous oblige à plier maladroitement le poignet pour les manipuler... et à détourner nos yeux de la route pendant un court laps de temps.
Entrer et sortir de ce coupé à profil bas est relativement facile pour les passagers avant, qui profitent en outre de sièges confortables et enveloppants, d'un climatiseur automatique et d'un espace adéquat. Les personnes qui se glissent à l'arrière, en revanche, apprendront à faire mieux connaissance avec leurs genoux.
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| L'Audi S5 fait tourner la tête des passants aussi vite qu'elle colle celle des passagers contre leur siège. |
Design lascif
La silhouette est profilée et élégante -- plus que la majorité de ses frangines -- et elle se pavane avec grâce partout où la route mène son conducteur. À la fois veloutée et élancée, aguichante et musclée, la S5 que j'ai testée était l'équivalent automobile d'Anna Kournikova dans une robe moulante.
Les phares accentués d'une série de DEL constituent le principal trait distinctif de la voiture. On dirait une paire d'yeux aux sourcils froncés; le conducteur qui précède a tout intérêt à libérer la voie dès qu'il aperçoit cette physionomie intimidante. Décorée en outre de superbes roues en alliage de 19 pouces, l'Audi S5 fait tourner la tête des passants aussi vite qu'elle colle celle des passagers contre leur siège.
Les lignes fuyantes convergent vers l'arrière et accentuent les quatre embouts d'échappement, tandis que le toit de ce coupé de grand tourisme est marqué par un immense panneau vitré coulissant. Peu de voitures allemandes ont une présence visuelle aussi forte.
À l'intérieur
Avec ses cadrans inspirés de la moto, son poste de pilotage ultra sportif ainsi que son amalgame de couleurs sombres aux accents de chrome et d'aluminium, la S5 présente un habitacle typique d'une grande voiture sport. Tout est bien pensé et bien assemblé, comme le veut la coutume chez Audi. En fait, la qualité des matériaux et de la finition est de loin l'une des meilleures dans toute l'industrie.
Le moteur et le frein de stationnement s'activent simplement en appuyant sur un bouton. Par conséquent, étant donné l'absence d'un frein à main sur la console, le conducteur jouit d'une plus grande liberté de mouvement pour contrôler l'interface multimédia d'Audi (MMI).
Cela dit, j'ai quand même trouvé que les principales commandes étaient positionnées trop près du pilote, ce qui nous oblige à plier maladroitement le poignet pour les manipuler... et à détourner nos yeux de la route pendant un court laps de temps.
Entrer et sortir de ce coupé à profil bas est relativement facile pour les passagers avant, qui profitent en outre de sièges confortables et enveloppants, d'un climatiseur automatique et d'un espace adéquat. Les personnes qui se glissent à l'arrière, en revanche, apprendront à faire mieux connaissance avec leurs genoux.
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| La qualité des matériaux et de la finition est l'une des meilleures dans toute l'industrie. |