J'étais d'ailleurs très content que le sublime moteur de mon modèle d'essai soit jumelé à la boîte manuelle à six rapports de BMW. Une automatique aurait gâché le plaisir de conduire la 335i Cabriolet. Je ne dis pas que la transmission Steptronic à 6 rapports avec leviers au volant n'est pas une merveille technologique en soi -- au contraire. C'est juste que la manuelle est la véritable âme soeur de cette voiture. Avec elle, la 335i Cabriolet devient un prolongement de notre corps et de notre esprit.
Confort de roulement surprenant
Je dois avouer qu'en lisant le contenu de l'ensemble Sport dont ma 335i était équipée (suspension sport, jantes de 19 pouces, pneus à profil surbaissé), je m'attendais à un roulement dur et éprouvant. Dès les premiers tours de roues, cependant, j'ai été agréablement surpris: la conduite demeure remarquablement confortable et indulgente.
Certes, lorsque la chaussée est très détériorée, la suspension ferme et les pneus minces nous le font sentir assez explicitement. Le reste du temps, par contre, l'inconfort et le bruit provenant de la route sont réduits au strict minimum. Il faut dire que l'habitacle est assemblé et insonorisé de manière impeccable. En somme, le confort de roulement n'a pas été compromis par l'excellente maniabilité de cette voiture.
Tenue de route légendaire
Parlant de maniabilité, les journalistes automobiles du monde entier n'arrêtent pas de louanger la 335i pour son agilité et son comportement dynamique. Beaucoup s'en servent d'ailleurs comme référence pour comparer les compétiteurs. Moi qui ai testé le coupé l'année dernière, je n'ai constaté aucune différence avec le cabriolet. Ce dernier offre la même tenue de route légendaire malgré le poids additionnel que représentent le châssis légèrement allongé et le mécanisme de toit rigide rétractable. Il se peut que des essais en piste révèlent le contraire, mais l'écart serait quand même minime.
Mon modèle d'essai n'avait aucune misère à tenir les points de corde et à enchaîner les zigzags sans broncher. En tout temps, il demeurait calme et en équilibre. Bref, comme je j'ai évoqué plus tôt, BMW a trouvé le juste milieu parfait entre confort de roulement et tenue de route.
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| Le roulement est étonnamment doux malgré les jantes de 19 pouces chaussées de pneus à profil surbaissé. |
Confort de roulement surprenant
Je dois avouer qu'en lisant le contenu de l'ensemble Sport dont ma 335i était équipée (suspension sport, jantes de 19 pouces, pneus à profil surbaissé), je m'attendais à un roulement dur et éprouvant. Dès les premiers tours de roues, cependant, j'ai été agréablement surpris: la conduite demeure remarquablement confortable et indulgente.
Certes, lorsque la chaussée est très détériorée, la suspension ferme et les pneus minces nous le font sentir assez explicitement. Le reste du temps, par contre, l'inconfort et le bruit provenant de la route sont réduits au strict minimum. Il faut dire que l'habitacle est assemblé et insonorisé de manière impeccable. En somme, le confort de roulement n'a pas été compromis par l'excellente maniabilité de cette voiture.
Tenue de route légendaire
Parlant de maniabilité, les journalistes automobiles du monde entier n'arrêtent pas de louanger la 335i pour son agilité et son comportement dynamique. Beaucoup s'en servent d'ailleurs comme référence pour comparer les compétiteurs. Moi qui ai testé le coupé l'année dernière, je n'ai constaté aucune différence avec le cabriolet. Ce dernier offre la même tenue de route légendaire malgré le poids additionnel que représentent le châssis légèrement allongé et le mécanisme de toit rigide rétractable. Il se peut que des essais en piste révèlent le contraire, mais l'écart serait quand même minime.
Mon modèle d'essai n'avait aucune misère à tenir les points de corde et à enchaîner les zigzags sans broncher. En tout temps, il demeurait calme et en équilibre. Bref, comme je j'ai évoqué plus tôt, BMW a trouvé le juste milieu parfait entre confort de roulement et tenue de route.
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| La tenue de route a toujours été un point fort des véhicules BMW. |