Sans toit, le bruit et les vibrations à l’avant se font étonnamment discrets, et bien au-delà de la limite de vitesse aussi. On peut discuter sans élever la voix, même à une vitesse pas du tout raisonnable.
Or, ce bruit et cette turbulence se montrent plus généreux à l’arrière. La banquette arrière s’avère confortable une fois qu’on est bien installé, mais elle est destinée, évidemment, aux passagers plus petits et plus jeunes.
Avec le toit, le bruit du vent perçu dans la 650i reflète ce qu’on entend dans le coupé sport type. On n’a pas droit au silence d’un coupé de luxe à toit rigide, mais on ne se croirait pas dans une tente géante sur l’autoroute non plus. Peu importe la route, mon modèle semblait solide, lourd et bien monté, ne laissant pénétrer que peu de bruit de suspension ou de pneus dans l’habitacle. On est assis bas dans un habitacle large et spacieux, une position digne d’une vraie voiture de course malgré l’espace rappelant plutôt une berline de luxe.
Le nouveau 8 de la 6
Aussi bien exécutée soit-elle, la 650i présente néanmoins deux problèmes communs à presque toutes les décapotables. D’abord, le toit limite la visibilité latérale et arrière. Ensuite, les oiseaux ne se vident les intestins que sur les décapotables. Demandez à n’importe quel propriétaire de cabriolet.
Mais si une envolée de mouettes diarrhéiques prend la Six dans sa mire, on n’aura aucun problème à les semer grâce au V8 biturbo de 4,4 litres signé BMW. Il entraîne les roues arrière par l’intermédiaire d’une boîte automatique à huit vitesses avec palettes.
Oui, huit vitesses. Il s’agit de la boîte la plus suave et sublime que je n’ai jamais utilisé, un point c’est tout. Et elle change les rapports à la vitesse de l’éclair de façon parfaitement indécelable, même quand on rétrograde agressivement, envoyant l’aiguille près du rouge. J’ai noté une consommation moyenne de 12,5 litres aux 100 km.
On peut même opter pour une boîte manuelle à six vitesses. Vous savez, le truc avec le levier et la pédale d’embrayage… La puissance nominale? Quatre cents beaux chevaux.
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| La banquette arrière s’avère confortable mais elle est destinée, évidemment, aux passagers plus petits et plus jeunes. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Or, ce bruit et cette turbulence se montrent plus généreux à l’arrière. La banquette arrière s’avère confortable une fois qu’on est bien installé, mais elle est destinée, évidemment, aux passagers plus petits et plus jeunes.
Avec le toit, le bruit du vent perçu dans la 650i reflète ce qu’on entend dans le coupé sport type. On n’a pas droit au silence d’un coupé de luxe à toit rigide, mais on ne se croirait pas dans une tente géante sur l’autoroute non plus. Peu importe la route, mon modèle semblait solide, lourd et bien monté, ne laissant pénétrer que peu de bruit de suspension ou de pneus dans l’habitacle. On est assis bas dans un habitacle large et spacieux, une position digne d’une vraie voiture de course malgré l’espace rappelant plutôt une berline de luxe.
Le nouveau 8 de la 6
Aussi bien exécutée soit-elle, la 650i présente néanmoins deux problèmes communs à presque toutes les décapotables. D’abord, le toit limite la visibilité latérale et arrière. Ensuite, les oiseaux ne se vident les intestins que sur les décapotables. Demandez à n’importe quel propriétaire de cabriolet.
Mais si une envolée de mouettes diarrhéiques prend la Six dans sa mire, on n’aura aucun problème à les semer grâce au V8 biturbo de 4,4 litres signé BMW. Il entraîne les roues arrière par l’intermédiaire d’une boîte automatique à huit vitesses avec palettes.
Oui, huit vitesses. Il s’agit de la boîte la plus suave et sublime que je n’ai jamais utilisé, un point c’est tout. Et elle change les rapports à la vitesse de l’éclair de façon parfaitement indécelable, même quand on rétrograde agressivement, envoyant l’aiguille près du rouge. J’ai noté une consommation moyenne de 12,5 litres aux 100 km.
On peut même opter pour une boîte manuelle à six vitesses. Vous savez, le truc avec le levier et la pédale d’embrayage… La puissance nominale? Quatre cents beaux chevaux.
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| La puissance nominale? Quatre cents beaux chevaux. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |