Si les modifications extérieures sont subtiles, mais quand même évidentes, celles à l'intérieur se révèlent tout aussi subtiles mais nettement moins évidentes. Ce n'est pas du tout un défaut. À la base, la BMW 750i xDrive déborde de luxe et de cachet. Par conséquent, on vous pardonnera de ne pas remarquer les boiseries en myrte et les garnitures noir piano exclusives à ce modèle. En revanche, si vous ratez le volant en cuir Lavalina cousu à la main et orné d'un emblème ALPINA ou encore les seuils de portières illuminés en bleu ALPINA, vous devriez faire examiner vos yeux.
Cela dit, il est compréhensible de ne pas porter attention à ces changements quand on prend place dans les baquets actifs et ventilés de la B7. Croyez-moi, vous supplierez ALPINA et BMW de vous en construire une paire pour votre salon tellement ils procurent un grand confort. Sur le tableau de bord se trouvent des cadrans et commandes superbement façonnés et de première qualité. La somptueuse banquette arrière se montre digne d'un roi, mais c'est à l'avant que vous voudrez camper.
Après tout, il s'agit d'une BMW Série 7, équipée d'une multitude de gadgets électroniques et autres tours de passe-passe. J'aime particulièrement les portières à fermeture adoucie; pas besoin de tirer fort, car chacune utilise un moteur électrique qui la referme de manière étanche et convaincante. Aussi géniale que soit cette innovation, l'interface iDrive avec écran de 10,25 pouces mérite encore plus d'attention. Véritable point focal de l'habitacle, elle contrôle tout intelligemment.
Je pourrais en dire davantage, mais passons sans plus tarder au cœur de la BMW ALPINA B7 2011 : le V8 TwinPower Turbo de 4,4 litres. Comme on peut s'y attendre, surtout venant d'une firme à la riche tradition de course, la voiture ne manque vraiment pas de muscle. Dans la 750i régulière, le moteur en aluminium à huit cylindres génère 400 chevaux – du déjà vu. Avec quelques petits ajustements ici et là, ALPINA a réussi à lui conférer 25 % plus de puissance. Oui, votre calcul est bon : ça fait un total de 500 chevaux. Sans surprise, cette mécanique sert de base à la BMW M5 de 560 chevaux. Vive les V8 turbocompressés!
Mais n'oublions pas l'autre partie de l'équation : les 516 livres-pied de couple. J'ai écrit dans mon compte rendu de la 650i Cabriolet qu'elle pulvérise la croûte terrestre et que la M6 peut changer le sens de rotation de la Terre. L'ALPINA B7 se positionne quelque part entre les deux. En gros, cette voiture déplace des montagnes, mais elle le fait de façon si polie et raffinée que vous pourriez même ne pas remarquer l'ombre de la grosseur de la Floride qu'elle projette pendant que vous roulez à 270 km/h. Bon, d'accord, cette image ne tient pas la route, mais pensez-y un peu encore.
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| Aussi géniale que soit cette innovation, l'interface iDrive avec écran de 10,25 pouces mérite encore plus d'attention. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Cela dit, il est compréhensible de ne pas porter attention à ces changements quand on prend place dans les baquets actifs et ventilés de la B7. Croyez-moi, vous supplierez ALPINA et BMW de vous en construire une paire pour votre salon tellement ils procurent un grand confort. Sur le tableau de bord se trouvent des cadrans et commandes superbement façonnés et de première qualité. La somptueuse banquette arrière se montre digne d'un roi, mais c'est à l'avant que vous voudrez camper.
Après tout, il s'agit d'une BMW Série 7, équipée d'une multitude de gadgets électroniques et autres tours de passe-passe. J'aime particulièrement les portières à fermeture adoucie; pas besoin de tirer fort, car chacune utilise un moteur électrique qui la referme de manière étanche et convaincante. Aussi géniale que soit cette innovation, l'interface iDrive avec écran de 10,25 pouces mérite encore plus d'attention. Véritable point focal de l'habitacle, elle contrôle tout intelligemment.
Je pourrais en dire davantage, mais passons sans plus tarder au cœur de la BMW ALPINA B7 2011 : le V8 TwinPower Turbo de 4,4 litres. Comme on peut s'y attendre, surtout venant d'une firme à la riche tradition de course, la voiture ne manque vraiment pas de muscle. Dans la 750i régulière, le moteur en aluminium à huit cylindres génère 400 chevaux – du déjà vu. Avec quelques petits ajustements ici et là, ALPINA a réussi à lui conférer 25 % plus de puissance. Oui, votre calcul est bon : ça fait un total de 500 chevaux. Sans surprise, cette mécanique sert de base à la BMW M5 de 560 chevaux. Vive les V8 turbocompressés!
Mais n'oublions pas l'autre partie de l'équation : les 516 livres-pied de couple. J'ai écrit dans mon compte rendu de la 650i Cabriolet qu'elle pulvérise la croûte terrestre et que la M6 peut changer le sens de rotation de la Terre. L'ALPINA B7 se positionne quelque part entre les deux. En gros, cette voiture déplace des montagnes, mais elle le fait de façon si polie et raffinée que vous pourriez même ne pas remarquer l'ombre de la grosseur de la Floride qu'elle projette pendant que vous roulez à 270 km/h. Bon, d'accord, cette image ne tient pas la route, mais pensez-y un peu encore.
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| La BMW ALPINA B7 2011 franchit la barre des 100 km/h en 4,8 secondes, et ce, sans le moindre drame. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |