Une fois confortablement installés, les deux occupants trouvent rapidement leurs aises. Les commandes sont généralement bien localisées, les sièges enveloppants et outre l’impression que le capot avant n’en finit jamais, la visibilité demeure relativement intéressante. Seul bémol, les commandes regroupées de BMW au centre de la console, avec un seul bouton. Le tout dénote une remarquable amélioration, mais il faut tout de même quitter la route des yeux pour contrôler efficacement climatisation et système audio.
Vroum…………..
La vraie beauté de la Z4 cependant, se distingue sous le capot. Le moteur 3,0 litres biturbo de notre Z4 sDrive35i n’a rien de nouveau, et se retrouve dans bon nombre d’autres produits de la marque. Mais il ne propose rien de moins que des accélérations frissonnantes, 300 chevaux, ainsi qu’un remarquable ronron.
En fait, malgré le poids relativement élevé de la Z4 (gracieuseté du toit rigide), elle franchit le 0 à 100 km à l’heure en moins de 5,2 secondes, avec un enthousiasme contagieux.
La conduite se révèle directe et précise, et la transmission séquentielle Steptronic réagit avec une rapidité époustouflante (les données techniques prouvent qu’elle est plus rapide que la manuelle). Et le double embrayage élimine toute velléité de délai entre les passages.
Mieux encore, le système Dynamic Control permet de choisir entre le mode normal, et le mode sport (on a même un mode Sport Plus un peu plus extrême). Dans tous les cas, le changement fait réagir les suspensions, la direction et même la rapidité de réaction de la boîte de vitesses. Tant et si bien que pour n’importe qui, le mode sport devient vite un mode de vie….
Conclusion
Pas parfaite, loin s’en faut, la BMW Z4 offre tout de même un petit quelque chose : style, raffinement et performance se combinent bien dans un petit roadster bien conçu. Il est vrai que les suspensions sont parfois rigides, la visibilité douteuse et la consommation un tantinet excessive, surtout selon notre mode de conduite. On pourrait aussi souhaiter plus de puissance, quelque chose de plus sportif, ou plus encore… mais la Z4 n’a rien d’extrême.
En fait, pour ceux dont le budget « Jeu » est assez relevé, la BMW Z4 constitue certainement un jouet dont on ne saurait se priver.
photo:Matthieu Lambert
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| Une fois confortablement installés, les deux occupants trouvent rapidement leurs aises. |
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La vraie beauté de la Z4 cependant, se distingue sous le capot. Le moteur 3,0 litres biturbo de notre Z4 sDrive35i n’a rien de nouveau, et se retrouve dans bon nombre d’autres produits de la marque. Mais il ne propose rien de moins que des accélérations frissonnantes, 300 chevaux, ainsi qu’un remarquable ronron.
En fait, malgré le poids relativement élevé de la Z4 (gracieuseté du toit rigide), elle franchit le 0 à 100 km à l’heure en moins de 5,2 secondes, avec un enthousiasme contagieux.
La conduite se révèle directe et précise, et la transmission séquentielle Steptronic réagit avec une rapidité époustouflante (les données techniques prouvent qu’elle est plus rapide que la manuelle). Et le double embrayage élimine toute velléité de délai entre les passages.
Mieux encore, le système Dynamic Control permet de choisir entre le mode normal, et le mode sport (on a même un mode Sport Plus un peu plus extrême). Dans tous les cas, le changement fait réagir les suspensions, la direction et même la rapidité de réaction de la boîte de vitesses. Tant et si bien que pour n’importe qui, le mode sport devient vite un mode de vie….
Conclusion
Pas parfaite, loin s’en faut, la BMW Z4 offre tout de même un petit quelque chose : style, raffinement et performance se combinent bien dans un petit roadster bien conçu. Il est vrai que les suspensions sont parfois rigides, la visibilité douteuse et la consommation un tantinet excessive, surtout selon notre mode de conduite. On pourrait aussi souhaiter plus de puissance, quelque chose de plus sportif, ou plus encore… mais la Z4 n’a rien d’extrême.
En fait, pour ceux dont le budget « Jeu » est assez relevé, la BMW Z4 constitue certainement un jouet dont on ne saurait se priver.
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| Style, raffinement et performance se combinent bien dans un petit roadster bien conçu. |
photo:Matthieu Lambert
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