Montréal – La première fois que Franz Jung est venu au Canada, il avait 19 ans. Il accompagnait ses parents lors d'un voyage touristique. “À l’époque, je ne pouvais pas imaginer que je reviendrais ici plus tard et que je serais alors le président d’une compagnie!”.
Rencontré à l’occasion d’une table ronde, organisée à l’intention de la presse automobile cette semaine à Montréal, le nouveau président de BMW Canada a voulu partager ses premières impressions sur l’entreprise qu’il dirige depuis avril dernier et sur le marché canadien de l’automobile.
Véritable globe-trotter de l’industrie, comme plusieurs exécutifs de la haute administration, M. Jung a cumulé une foule de postes à travers le monde. À son arrivée chez BMW, en 1996, il a été directeur régional de la marque britannique Rover en Allemagne, alors qu’elle appartenait encore à BMW. Puis, il a été affecté à diverses tâches de direction pour les marques BMW et MINI en Allemagne, au Mexique, en Chine et, plus récemment, en Europe de l’Est et dans les pays scandinaves.
C’est pourtant chez les concurrents qu’il avait amorcé sa carrière : comme technicien, chez Mercedes-Benz d’abord, mais ensuite, après avoir fait le saut dans le secteur de la vente, au sein des filiales allemandes de Honda et de Fiat.
Armé d’une solide expérience, cet homme de 47 ans, marié et père de trois enfants, se retrouve aujourd’hui à la tête d’une filiale du groupe BMW, qui compte 40 concessions BMW et 25 MINI, de même que 19 détaillants de motos BMW. Il remplace Lindsay Duffield, qui avait été le premier Canadien à occuper son poste.
Stratégie en quatre points pour rester au sommet
Cette rencontre coïncidait avec une annonce très attendue. En juin, pour la première fois de son histoire au Canada, la marque BMW avait réalisé des ventes dépassant le chiffre magique de 3 000 unités -- 3 003 pour être plus précis! Cela représentait un gain de 2% par rapport au même mois, un an plus tôt.
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| Nouveau président de BMW Canada depuis avril 2009, Franz Jung aspire à préserver le premier rang qu’occupe sa marque dans les créneaux de luxe et de prestige. |
Rencontré à l’occasion d’une table ronde, organisée à l’intention de la presse automobile cette semaine à Montréal, le nouveau président de BMW Canada a voulu partager ses premières impressions sur l’entreprise qu’il dirige depuis avril dernier et sur le marché canadien de l’automobile.
Véritable globe-trotter de l’industrie, comme plusieurs exécutifs de la haute administration, M. Jung a cumulé une foule de postes à travers le monde. À son arrivée chez BMW, en 1996, il a été directeur régional de la marque britannique Rover en Allemagne, alors qu’elle appartenait encore à BMW. Puis, il a été affecté à diverses tâches de direction pour les marques BMW et MINI en Allemagne, au Mexique, en Chine et, plus récemment, en Europe de l’Est et dans les pays scandinaves.
C’est pourtant chez les concurrents qu’il avait amorcé sa carrière : comme technicien, chez Mercedes-Benz d’abord, mais ensuite, après avoir fait le saut dans le secteur de la vente, au sein des filiales allemandes de Honda et de Fiat.
Armé d’une solide expérience, cet homme de 47 ans, marié et père de trois enfants, se retrouve aujourd’hui à la tête d’une filiale du groupe BMW, qui compte 40 concessions BMW et 25 MINI, de même que 19 détaillants de motos BMW. Il remplace Lindsay Duffield, qui avait été le premier Canadien à occuper son poste.
Stratégie en quatre points pour rester au sommet
Cette rencontre coïncidait avec une annonce très attendue. En juin, pour la première fois de son histoire au Canada, la marque BMW avait réalisé des ventes dépassant le chiffre magique de 3 000 unités -- 3 003 pour être plus précis! Cela représentait un gain de 2% par rapport au même mois, un an plus tôt.
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| BMW Canada ajoutera bientôt à sa gamme la 750i xDrive. |