Duo du tonnerre
La Z4 2009 que j’ai testée renfermait l’un des duos les plus «hot» de l’heure: le moteur biturbo de 3,0 litres à six cylindres en ligne de BMW et sa boîte à double embrayage comptant sept rapports et des palettes au volant. C’est par l’entremise de cette dernière que les 300 chevaux et les 300 livres-pied de couple du moteur étaient transférés aux roues arrière, et ce, de manière fluide et harmonieuse.
En choisissant le réglage le plus sportif de la boîte de vitesses, on peut entendre une éruption sèche et stridente provenant de l’échappement lors des très courts changements de rapports. Puis, quand vient le temps de rétrograder, la boîte force une impulsion de l’accélérateur pour assurer une correspondance du régime-moteur tout en douceur. La transmission à double embrayage de la Z4 peut vraiment être contrôlée du bout des doigts et permet de créer notre propre mélodie.
Il faut débourser un supplément de 1950 $ pour jouir de cette technologie avant-gardiste. C’est beaucoup moins cher que le système PDK de Porsche, qui n’offre même pas des réglages de boîte programmables par surcroît.
L’accélérateur électronique n’entraîne pas des décollages aussi explosifs qu’on le souhaiterait lorsqu’on enfonce la pédale, mais les deux turbos se mettent au travail en très peu de temps et avec une ardeur remarquable. Enchaîner les changements de rapports optimisés est terriblement amusant et grisant. Toutefois, il faut faire attention pour ne pas trop se laisser emporter; sinon, c’est le permis de conduire qui en souffrira.
Quand on arrive à conduire avec modération, la consommation moyenne se situe autour de 10 litres aux 100 kilomètres. Si vous recherchez une Z4 un peu plus économique, une version non turbocompressée avec boîte manuelle à six rapports est disponible.
Les deux côtés de la médaille
Bien que le roulement soit confortable et relativement doux sur les belles autoroutes, les jantes optionnelles de 18 pouces et les pneus de performance peuvent rendre la conduite carrément éprouvante sur les autres surfaces. En fait, sur les routes accidentées, le faible débattement de la suspension et le profil bas des pneus se traduisent par des chocs alarmants au niveau de la caisse, surtout à l’accélération. Bref, optez seulement pour ces roues si le réseau routier de votre région est généralement en très bonne condition.
La Z4 2009 que j’ai testée renfermait l’un des duos les plus «hot» de l’heure: le moteur biturbo de 3,0 litres à six cylindres en ligne de BMW et sa boîte à double embrayage comptant sept rapports et des palettes au volant. C’est par l’entremise de cette dernière que les 300 chevaux et les 300 livres-pied de couple du moteur étaient transférés aux roues arrière, et ce, de manière fluide et harmonieuse.
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| C’est par l’entremise de cette dernière que les 300 chevaux et les 300 livres-pied de couple du moteur étaient transférés aux roues arrière. |
En choisissant le réglage le plus sportif de la boîte de vitesses, on peut entendre une éruption sèche et stridente provenant de l’échappement lors des très courts changements de rapports. Puis, quand vient le temps de rétrograder, la boîte force une impulsion de l’accélérateur pour assurer une correspondance du régime-moteur tout en douceur. La transmission à double embrayage de la Z4 peut vraiment être contrôlée du bout des doigts et permet de créer notre propre mélodie.
Il faut débourser un supplément de 1950 $ pour jouir de cette technologie avant-gardiste. C’est beaucoup moins cher que le système PDK de Porsche, qui n’offre même pas des réglages de boîte programmables par surcroît.
L’accélérateur électronique n’entraîne pas des décollages aussi explosifs qu’on le souhaiterait lorsqu’on enfonce la pédale, mais les deux turbos se mettent au travail en très peu de temps et avec une ardeur remarquable. Enchaîner les changements de rapports optimisés est terriblement amusant et grisant. Toutefois, il faut faire attention pour ne pas trop se laisser emporter; sinon, c’est le permis de conduire qui en souffrira.
Quand on arrive à conduire avec modération, la consommation moyenne se situe autour de 10 litres aux 100 kilomètres. Si vous recherchez une Z4 un peu plus économique, une version non turbocompressée avec boîte manuelle à six rapports est disponible.
Les deux côtés de la médaille
Bien que le roulement soit confortable et relativement doux sur les belles autoroutes, les jantes optionnelles de 18 pouces et les pneus de performance peuvent rendre la conduite carrément éprouvante sur les autres surfaces. En fait, sur les routes accidentées, le faible débattement de la suspension et le profil bas des pneus se traduisent par des chocs alarmants au niveau de la caisse, surtout à l’accélération. Bref, optez seulement pour ces roues si le réseau routier de votre région est généralement en très bonne condition.
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| Sur les routes accidentées, le faible débattement de la suspension et le profil bas des pneus se traduisent par des chocs alarmants. |