D’un autre côté, le roulement de l’Enclave se révèle sans reproche. Malgré ses roues chromées de 20 pouces et ses pneus à profil bas, il ne porte pas trop dur sur la route. L’assistance de la direction profite d’un bon dosage, et en général, ce Buick ne semble pas aussi massif qu’il ne l’est vraiment. Même lorsque vient le temps de le stationner, son étroit diamètre de braquage aide grandement, et la visibilité vers l’extérieur est très bonne.
En prenant place à l’intérieur, on a une bonne première impression. En inspectant de plus près, cependant, on remarque quelques petits détails qui auraient pu être mieux pensés. Certains plastiques du tableau de bord ont une surface granuleuse qui détonne dans un véhicule de ce prix. Les garnitures en similibois ne convaincront personne, les boutons de climatisation sont trop petits et les commandes de l’essuie-glace arrière maladroitement placées sur la console centrale.
GM a fait du progrès au niveau de la conception et de l’assemblage de ses habitacles depuis la création de l’Enclave, et la berline LaCrosse en illustre une bonne preuve.
Notre camion d’essai bénéficie d’un équipement garni, et inclut notamment le système de navigation à écran tactile bien exécuté de GM, les sièges avant chauffants et ventilés, la sellerie de cuir souple, le système DVD à l’arrière et le hayon à commande électrique.
Là où l’Enclave gagne des gros points, c’est lorsqu’on constate son espace intérieur. On note des quantités généreuses de dégagement pour la tête et les jambes dans les deux premières rangées, tandis que la troisième banquette peut accommoder des adultes tout en restant facilement accessible.
Quant à l’espace de chargement, il y a un volume de 657 litres avec tous les sièges en place, et 3 265 litres lorsque les deuxième et troisième rangées sont rabattues. Il s’agit de plus d’espace de cargo que les VUS plus gros de GM comme les triplets Tahoe/Yukon/Escalade, et plus d’espace encore que dans les Infiniti QX56 et Lincoln Navigator.
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| Les garnitures en similibois ne sont pas convaincantes. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
En prenant place à l’intérieur, on a une bonne première impression. En inspectant de plus près, cependant, on remarque quelques petits détails qui auraient pu être mieux pensés. Certains plastiques du tableau de bord ont une surface granuleuse qui détonne dans un véhicule de ce prix. Les garnitures en similibois ne convaincront personne, les boutons de climatisation sont trop petits et les commandes de l’essuie-glace arrière maladroitement placées sur la console centrale.
GM a fait du progrès au niveau de la conception et de l’assemblage de ses habitacles depuis la création de l’Enclave, et la berline LaCrosse en illustre une bonne preuve.
Notre camion d’essai bénéficie d’un équipement garni, et inclut notamment le système de navigation à écran tactile bien exécuté de GM, les sièges avant chauffants et ventilés, la sellerie de cuir souple, le système DVD à l’arrière et le hayon à commande électrique.
Là où l’Enclave gagne des gros points, c’est lorsqu’on constate son espace intérieur. On note des quantités généreuses de dégagement pour la tête et les jambes dans les deux premières rangées, tandis que la troisième banquette peut accommoder des adultes tout en restant facilement accessible.
Quant à l’espace de chargement, il y a un volume de 657 litres avec tous les sièges en place, et 3 265 litres lorsque les deuxième et troisième rangées sont rabattues. Il s’agit de plus d’espace de cargo que les VUS plus gros de GM comme les triplets Tahoe/Yukon/Escalade, et plus d’espace encore que dans les Infiniti QX56 et Lincoln Navigator.
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| L’espace intérieur est très généreux dans l’Enclave. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |