Plus à l'arrière, la zone de chargement présente une belle finition, offre une doublure protectrice et facilite l'accès au moyen d'un hayon assisté.
Au-delà de l'espace et du rangement, il est facile d'apprécier le côté techno et branché de l'habitacle de cette CTS. Les divers affichages, l'éclairage ambiant et l'écran de navigation qui surgit du tableau de bord en rehaussent le cachet, tout comme les boiseries et le cuir aux coutures accentuées.
Si vous voulez mon avis, la présentation intérieure s'avère plus stimulante visuellement que celle d'une BMW ou d'une Mercedes. De plus, la qualité d'assemblage et le choix des matériaux sont excellents.
Brio sur la route
Sous le capot, la Cadillac CTS Familiale Sport 2010 de mon essai routier misait sur le V6 de 3,6 litres à injection directe de GM, qui produit 304 chevaux via une boîte automatique à six rapports. Son fonctionnement est d'une douceur remarquable en conduite modérée et la transmission livre des passages fluides, en plus d'offrir un mode manuel d'une rapidité d'exécution raisonnable. Malheureusement, aucune vraie boîte manuelle n'est disponible ou même prévue dans les plans de la compagnie pour ce modèle.
Munie de la traction intégrale et de l'antidérapage, la CTS4 se déplace avec confiance sur les routes froides de l'arrière-pays. Stable et bien ancrée, elle offre un juste milieu entre confort de roulement et fermeté de la tenue de route. Il en résulte une conduite sécuritaire, confortable et dynamique sur la majorité des revêtements.
Le système de traction intégrale achemine beaucoup de puissance aux roues arrière et l'antidérapage peut être désactivé complètement par les puristes qui désirent se fier à l'accélérateur et au volant pour se diriger sur la route.
Arrivé sur les grands boulevards et les autoroutes, j'ai noté que le bruit à l'intérieur de la voiture demeure minimal, même quand on dépasse largement les limites de vitesse. En outre, les balais essuie-glace continuent de travailler efficacement à un peu plus de 120 km/h.
Sur une note négative, le V6 s'est montré un peu assoiffé d'essence lors de cet essai. Il faut dire que les basses températures et l'utilisation excessive du démarreur à distance n'ont probablement pas aidé.
Au-delà de l'espace et du rangement, il est facile d'apprécier le côté techno et branché de l'habitacle de cette CTS. Les divers affichages, l'éclairage ambiant et l'écran de navigation qui surgit du tableau de bord en rehaussent le cachet, tout comme les boiseries et le cuir aux coutures accentuées.
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| Mon modèle d'essai misait sur le V6 de 3,6 litres qui produit 304 chevaux via une boîte automatique à six rapports. |
Si vous voulez mon avis, la présentation intérieure s'avère plus stimulante visuellement que celle d'une BMW ou d'une Mercedes. De plus, la qualité d'assemblage et le choix des matériaux sont excellents.
Brio sur la route
Sous le capot, la Cadillac CTS Familiale Sport 2010 de mon essai routier misait sur le V6 de 3,6 litres à injection directe de GM, qui produit 304 chevaux via une boîte automatique à six rapports. Son fonctionnement est d'une douceur remarquable en conduite modérée et la transmission livre des passages fluides, en plus d'offrir un mode manuel d'une rapidité d'exécution raisonnable. Malheureusement, aucune vraie boîte manuelle n'est disponible ou même prévue dans les plans de la compagnie pour ce modèle.
Munie de la traction intégrale et de l'antidérapage, la CTS4 se déplace avec confiance sur les routes froides de l'arrière-pays. Stable et bien ancrée, elle offre un juste milieu entre confort de roulement et fermeté de la tenue de route. Il en résulte une conduite sécuritaire, confortable et dynamique sur la majorité des revêtements.
Le système de traction intégrale achemine beaucoup de puissance aux roues arrière et l'antidérapage peut être désactivé complètement par les puristes qui désirent se fier à l'accélérateur et au volant pour se diriger sur la route.
Arrivé sur les grands boulevards et les autoroutes, j'ai noté que le bruit à l'intérieur de la voiture demeure minimal, même quand on dépasse largement les limites de vitesse. En outre, les balais essuie-glace continuent de travailler efficacement à un peu plus de 120 km/h.
Sur une note négative, le V6 s'est montré un peu assoiffé d'essence lors de cet essai. Il faut dire que les basses températures et l'utilisation excessive du démarreur à distance n'ont probablement pas aidé.
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| La zone de chargement présente une belle finition et facilite l'accès au moyen d'un hayon assisté. |