Talentueux
Le Cadillac SRX 2010 est disponible en option avec un V6 turbocompressé de 2,8 litres à la fois doux, puissant et agréable à l'oreille. Dans mon cas, le capot renfermait le moteur de base, soit un V6 atmosphérique de 3,0 litres à injection directe et à calage variable des soupapes. Son rendement demeure impressionnant (265 chevaux), tout comme sa promesse d'économie de carburant.
Typiquement calme, le moteur propulse le SRX discrètement lorsqu'il n'y a pas d'urgence. Au besoin, la puissance peut être livrée de manière soutenue et excitante grâce entre autres à l'ingénieux système de distribution. On obtient une pointe entre 5000 et 7000 tours/minute, le tout accompagné d'un son d'échappement plus présent. Certains le trouveront trop bruyant, alors que mes passagers et moi avons tous eu les oreilles charmées.
Performant
Les accélérations ne sont peut-être pas foudroyantes au point de nous briser le cou, mais elles restent plaisantes et satisfaisantes pour les conducteurs qui aiment jouer dans les hautes plages de régime. Conduit agressivement, le SRX se montre très assoiffé, mais Cadillac promet une autonomie exceptionnelle dans la vie de tous les jours.
Malheureusement, je n'en ai pas été témoin lors de mon essai routier, ayant enregistré une moyenne un peu décevante d'environ 15 litres aux 100 kilomètres. Évidemment, le fait d'avoir roulé en plein hiver et utilisé un peu trop le démarreur à distance n'a pas aidé. De plus, mon exemplaire n'affichait pas encore un kilométrage suffisant; je compte reprendre un jour mon évaluation avec un modèle complètement rodé.
Sportif et précis
Avec la traction intégrale à l'oeuvre, je n'ai noté aucune perte d'adhérence au décollage, quelle que soit la surface (enneigée ou non). Le fonctionnement du système m'a paru transparent et efficace, bien que j'imagine certains souhaiter une plus grande sollicitation du train arrière et la tendance au survirage qui vient avec.
La direction du SRX 2010 se révèle agréablement rapide et précise, presque autant que celle d'une berline sport. Pour améliorer davantage la maniabilité, un mode «sport» peut être activé à l'aide du levier de vitesses, rendant la suspension plus ferme.
Les pneus toute saison de mon modèle d'essai m'ont empêché d'explorer les limites de sa tenue de route dans des conditions hivernales. Néanmoins, attendez-vous à une agilité supérieure à la moyenne ainsi qu'à une absence quasi totale de roulis de caisse. Bref, le SRX devrait plaire aux conducteurs sportifs.
Le Cadillac SRX 2010 est disponible en option avec un V6 turbocompressé de 2,8 litres à la fois doux, puissant et agréable à l'oreille. Dans mon cas, le capot renfermait le moteur de base, soit un V6 atmosphérique de 3,0 litres à injection directe et à calage variable des soupapes. Son rendement demeure impressionnant (265 chevaux), tout comme sa promesse d'économie de carburant.
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| Le Cadillac SRX 2010 est disponible en option avec un V6 turbocompressé de 2,8 litres. |
Typiquement calme, le moteur propulse le SRX discrètement lorsqu'il n'y a pas d'urgence. Au besoin, la puissance peut être livrée de manière soutenue et excitante grâce entre autres à l'ingénieux système de distribution. On obtient une pointe entre 5000 et 7000 tours/minute, le tout accompagné d'un son d'échappement plus présent. Certains le trouveront trop bruyant, alors que mes passagers et moi avons tous eu les oreilles charmées.
Performant
Les accélérations ne sont peut-être pas foudroyantes au point de nous briser le cou, mais elles restent plaisantes et satisfaisantes pour les conducteurs qui aiment jouer dans les hautes plages de régime. Conduit agressivement, le SRX se montre très assoiffé, mais Cadillac promet une autonomie exceptionnelle dans la vie de tous les jours.
Malheureusement, je n'en ai pas été témoin lors de mon essai routier, ayant enregistré une moyenne un peu décevante d'environ 15 litres aux 100 kilomètres. Évidemment, le fait d'avoir roulé en plein hiver et utilisé un peu trop le démarreur à distance n'a pas aidé. De plus, mon exemplaire n'affichait pas encore un kilométrage suffisant; je compte reprendre un jour mon évaluation avec un modèle complètement rodé.
Sportif et précis
Avec la traction intégrale à l'oeuvre, je n'ai noté aucune perte d'adhérence au décollage, quelle que soit la surface (enneigée ou non). Le fonctionnement du système m'a paru transparent et efficace, bien que j'imagine certains souhaiter une plus grande sollicitation du train arrière et la tendance au survirage qui vient avec.
La direction du SRX 2010 se révèle agréablement rapide et précise, presque autant que celle d'une berline sport. Pour améliorer davantage la maniabilité, un mode «sport» peut être activé à l'aide du levier de vitesses, rendant la suspension plus ferme.
Les pneus toute saison de mon modèle d'essai m'ont empêché d'explorer les limites de sa tenue de route dans des conditions hivernales. Néanmoins, attendez-vous à une agilité supérieure à la moyenne ainsi qu'à une absence quasi totale de roulis de caisse. Bref, le SRX devrait plaire aux conducteurs sportifs.
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| La direction du SRX 2010 se révèle agréablement rapide et précise. |