La vie est une affaire de sacrifices et c’est d’autant plus vrai avec les coupés sport. Ici, la visibilité a été sacrifiée au profit d’un gabarit extrêmement dynamique et d’un look à faire tourner toutes les têtes. En regardant les parties avant et arrière de la Camaro, nombreux sont ceux qui la trouveront davantage sculptée et plus intimidante que la Challenger.
Attendez-vous à recevoir des regards approbateurs, des pouces en l’air et toute autre forme de compliments des gens que vous croiserez. Optez pour la peinture jaune et tous les jeunes croiront voir le robot Bumblebee du nouveau film «Transformers».
Bref, la Chevrolet Camaro 2010 conserve les allures des bons vieux «muscle cars», mais elle adopte simultanément une approche futuriste qui plaira aux fidèles de la marque et attirera une nouvelle génération de clients. Pour vous donner une idée, des passionnés ont effectué un dépôt et inscrit leur nom sur la liste d’attente bien avant que les prix ou même le design aient été finalisés.
Évidemment, les plus fervents amateurs de la Camaro opteront pour le moteur V8 qui développe plus de 400 chevaux. Le modèle de pré-production que j’ai testé renfermait plutôt un V6 de 3,6 litres générant 304 chevaux.
Les «muscle cars» à moteur V6 ont une moins bonne réputation, certes, mais il faut savoir que celui-ci mise sur l’injection directe de carburant et qu’il libère plus de jus que le V8 de l’ancienne Camaro. Voilà qui est une belle surprise.
Le V6 de Chevrolet produit également un joli son en pleine accélération, il grimpe dans les tours avec impatience et il propulse la voiture avec un empressement qui satisfera la majorité des conducteurs.
Optionnelle, la boîte automatique à six rapports avec commande manuelle sans embrayage s’avère plaisante à manipuler et communicative dans ses actions. Très gratifiante pour le pilote, elle permet des passages ascendants très rapides et des rétrogradations avec impulsion de l’accélérateur dès que le besoin est présent. Durant mon essai routier de six heures, je n’ai noté aucun problème avec le groupe motopropulseur de la Camaro 2010.
Même chose pour le roulement. Malgré la présence de roues de 20 pouces (optionnelles), la version RS que j’ai testée portait en douceur sur l’autoroute à plus de 120 km/h. Le fait de rouler sur des nids-de-poule et autres imperfections de la chaussée n’entraînait aucun grincement de dents, pas plus que des bruits anormaux sous le plancher.
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| La visibilité a été sacrifiée au profit d’un gabarit extrêmement dynamique et d’un look à faire tourner toutes les têtes. |
Attendez-vous à recevoir des regards approbateurs, des pouces en l’air et toute autre forme de compliments des gens que vous croiserez. Optez pour la peinture jaune et tous les jeunes croiront voir le robot Bumblebee du nouveau film «Transformers».
Bref, la Chevrolet Camaro 2010 conserve les allures des bons vieux «muscle cars», mais elle adopte simultanément une approche futuriste qui plaira aux fidèles de la marque et attirera une nouvelle génération de clients. Pour vous donner une idée, des passionnés ont effectué un dépôt et inscrit leur nom sur la liste d’attente bien avant que les prix ou même le design aient été finalisés.
Évidemment, les plus fervents amateurs de la Camaro opteront pour le moteur V8 qui développe plus de 400 chevaux. Le modèle de pré-production que j’ai testé renfermait plutôt un V6 de 3,6 litres générant 304 chevaux.
Les «muscle cars» à moteur V6 ont une moins bonne réputation, certes, mais il faut savoir que celui-ci mise sur l’injection directe de carburant et qu’il libère plus de jus que le V8 de l’ancienne Camaro. Voilà qui est une belle surprise.
Le V6 de Chevrolet produit également un joli son en pleine accélération, il grimpe dans les tours avec impatience et il propulse la voiture avec un empressement qui satisfera la majorité des conducteurs.
Optionnelle, la boîte automatique à six rapports avec commande manuelle sans embrayage s’avère plaisante à manipuler et communicative dans ses actions. Très gratifiante pour le pilote, elle permet des passages ascendants très rapides et des rétrogradations avec impulsion de l’accélérateur dès que le besoin est présent. Durant mon essai routier de six heures, je n’ai noté aucun problème avec le groupe motopropulseur de la Camaro 2010.
Même chose pour le roulement. Malgré la présence de roues de 20 pouces (optionnelles), la version RS que j’ai testée portait en douceur sur l’autoroute à plus de 120 km/h. Le fait de rouler sur des nids-de-poule et autres imperfections de la chaussée n’entraînait aucun grincement de dents, pas plus que des bruits anormaux sous le plancher.
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| Le moteur V6 mise sur l’injection directe de carburant et qu’il libère plus de jus que le V8 de l’ancienne Camaro. |