On l'attend, l'annonce, la précise depuis des années. En fait, la Chevrolet Volt représente probablement le secret le moins bien gardé de l'industrie automobile, au grand plaisir de General Motors qui multiplie les occasions de faire parler de son véhicule électrique, qui doit sortir en novembre 2010, comme modèle 2011.
Il faut dire que le défi est important, puisque GM se targue d'être le premier constructeur à lancer, sur une base de production de masse, ce genre de véhicule électrique. Les sceptiques restent cependant toujours nombreux face à ce projet dont les développements peuvent sembler parfois douteux,
« Pas du tout, tout est en règle», a expliqué Andrew Farrah, le nouvel ingénieur chef du projet de la Volt, lors d'une conférence de presse téléphonique tenue en direct de Détroit pour faire le point sur l'avancement du dossier.
Concrètement, tous paraissent optimistes pour le lancement officiel en novembre de l'an prochain. On profitera même du salon de l'auto de Los Angeles, dans quelques jours, pour dévoiler dans quels marchés la Volt fera son entrée.
« Pour le moment, nous avons suivi tous les plans. Nos tests sur les batteries se poursuivent, et certains détails sont déjà établis. Même chose du côté de la structure, nous faisons d'ailleurs des tests avec quelque 80 véhicules de préproduction, dont certains parcourront jusqu'à 300 000 milles avant la phase suivante», a expliqué le responsable.
Mais même si techniquement, les cellules qui composent la batterie sont choisies et la chimie qu'on y retrouve bien connue, il reste de nombreux autres problèmes à gérer avant de penser à une fabrication de masse.
La première et non la moindre, demeure la résistance à la température. De nombreux tests sont effectués en laboratoire, mais les résultats ne s’avèrent pas toujours concluants. En matière de froid par exemple, on sait qu'il est possible de réchauffer les batteries pour les rendre fonctionnelles et efficaces. Le poids supplémentaire généré par le système de chauffage constitue toutefois un obstacle, tout comme le fait que la voiture doit être immobilisée durant de longues heures.
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Il faut dire que le défi est important, puisque GM se targue d'être le premier constructeur à lancer, sur une base de production de masse, ce genre de véhicule électrique. Les sceptiques restent cependant toujours nombreux face à ce projet dont les développements peuvent sembler parfois douteux,
« Pas du tout, tout est en règle», a expliqué Andrew Farrah, le nouvel ingénieur chef du projet de la Volt, lors d'une conférence de presse téléphonique tenue en direct de Détroit pour faire le point sur l'avancement du dossier.
Concrètement, tous paraissent optimistes pour le lancement officiel en novembre de l'an prochain. On profitera même du salon de l'auto de Los Angeles, dans quelques jours, pour dévoiler dans quels marchés la Volt fera son entrée.
« Pour le moment, nous avons suivi tous les plans. Nos tests sur les batteries se poursuivent, et certains détails sont déjà établis. Même chose du côté de la structure, nous faisons d'ailleurs des tests avec quelque 80 véhicules de préproduction, dont certains parcourront jusqu'à 300 000 milles avant la phase suivante», a expliqué le responsable.
Mais même si techniquement, les cellules qui composent la batterie sont choisies et la chimie qu'on y retrouve bien connue, il reste de nombreux autres problèmes à gérer avant de penser à une fabrication de masse.
La première et non la moindre, demeure la résistance à la température. De nombreux tests sont effectués en laboratoire, mais les résultats ne s’avèrent pas toujours concluants. En matière de froid par exemple, on sait qu'il est possible de réchauffer les batteries pour les rendre fonctionnelles et efficaces. Le poids supplémentaire généré par le système de chauffage constitue toutefois un obstacle, tout comme le fait que la voiture doit être immobilisée durant de longues heures.
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