Dans la cabine, le dessin plutôt révolutionnaire du tableau de bord du prototype a fait place à un aménagement plus modeste. Décevant à certains égards. On a toutefois conservé la console habillée d'aluminium. l'intérieur est également rehaussé de notes métallisées, notamment au niveau du volant, de l'instrumentation et des poignées de portes. Les cadrans comportent des indications blancres sur fond noir avec un entourage chromé. DaimlerChrysler n'en est pas à la première application du genre.
Les fauteuils sont recouverts de cuir bicolore et l'écusson de Chrysler est imprimé dans les deux appuis-tête.
Côté finition, la Crossfire ne renie pas ses origines germaniques. La décoration est soignée et la qualité des matériaux ne fait pas bon marché, du moins au premier coup d'oeil. Les deux sièges permettent une bonne assise alors que la visibilité est obstruée par les formes très contrariées de la structure. En marche arrière, les opérations doivent être effectuées avec prudence.
Performances limitées
Sur la route, la Crossfire, confrontée à un premier contact trop bref sur les routes sinueuses de la banlieue de San Diego, a livré de belles qualités, tout en confirmant qu'elle n'a aucune intention d'ébranler les grandes sportives de ce monde.
Premiers tours de roues qui tendent à classer cette voiture dans la catégorie des GT (Grand Tourisme) plutôt que dans le groupe sélect des voitures sport.
Le moteur V6 (ouvert à 90 degrés) de 3,2 litres et 18 soupapes, caché sous le long capot de la Crossfire, convient, semble-t-il, au public cible. Il est couplé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports ou à une cinq rapports, avec mode de transmission aux roues arrière. Notre préférence, et celle de la majorité des acheteurs, va à l'automatique qui gère efficacement les exigences du conducteur, et ce, avec précision.
Les fauteuils sont recouverts de cuir bicolore et l'écusson de Chrysler est imprimé dans les deux appuis-tête.
Côté finition, la Crossfire ne renie pas ses origines germaniques. La décoration est soignée et la qualité des matériaux ne fait pas bon marché, du moins au premier coup d'oeil. Les deux sièges permettent une bonne assise alors que la visibilité est obstruée par les formes très contrariées de la structure. En marche arrière, les opérations doivent être effectuées avec prudence.Performances limitées
Sur la route, la Crossfire, confrontée à un premier contact trop bref sur les routes sinueuses de la banlieue de San Diego, a livré de belles qualités, tout en confirmant qu'elle n'a aucune intention d'ébranler les grandes sportives de ce monde.
Premiers tours de roues qui tendent à classer cette voiture dans la catégorie des GT (Grand Tourisme) plutôt que dans le groupe sélect des voitures sport.
Le moteur V6 (ouvert à 90 degrés) de 3,2 litres et 18 soupapes, caché sous le long capot de la Crossfire, convient, semble-t-il, au public cible. Il est couplé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports ou à une cinq rapports, avec mode de transmission aux roues arrière. Notre préférence, et celle de la majorité des acheteurs, va à l'automatique qui gère efficacement les exigences du conducteur, et ce, avec précision.