Nouveau en 2010
Pour 2010, le fabricant a apporté quelques améliorations mineures au véhicule. Par exemple, un petit témoin lumineux « ECO » a fait son apparition au tableau de bord. Il s’illumine lorsque le conducteur adopte un style de conduite « réservé », surtout pour lui rappeler de le maintenir!
Les sièges avant des quatre versions bénéficient dorénavant d’appuie-têtes « actifs », plus efficaces pour protéger les occupants de ces sièges en cas de collision.
Enfin, les cinéphiles de grands parcours (c.à.d. ces enfants qu’on assagit à l’aide d’un DVD de Disney…) apprécieront assurément les nouveaux écrans vidéo de 9 pouces. Plus grands que ceux du modèle 2009, ces accessoires logés dans les appuie-têtes des sièges avant font partie de l’ensemble « Divertissement » sont offerts parmi les options des modèles SXT et R/T.
Le Journey conserve aussi sa panoplie d’équipement de sécurité, qui font partie de l’équipement de série : les systèmes antiblocage, antipatinage, antidérapage, d’assistance au freinage et même d’antilouvoiement de la remorque. Car la capacité de remorquage du Journey peut passer de 450 à 1600 kilos (1000 à 3500 livres) lorsqu’on troque le 4-cylindres pour le V6.
Deux groupes motopropulseurs, deux personnalités!
Le Journey R/T que nous avons conduit (très brièvement) sur le circuit enneigé de Mécaglisse à Notre-Dame-de-la-Merci, près de Saint-Donat, nous a rappelé la différence qui distingue ce modèle des trois autres versions.
Sa suspension à réglages plus fermes (accentué par les pneus de monte d’origine) et la servodirection plus rapide, mais pas surassistée pour autant, apportent un caractère vaguement plus sportif à ce véhicule dont la vocation familiale reste pourtant évidente.
Les sièges garnis d’un revêtement à empiècement de cuir, chauffants à l’avant (fort heureusement!), et la chaîne audio à six haut-parleurs avec caisse d’extrêmes graves (façon « Poum! Poum! ») ajoutent une vague atmosphère de luxe, mais pas assez pour donner l’illusion d’un Lexus. L’abondance de plastique noir aux textures communes nous le rappelle.
Mais cela ne gêne assurément pas l’acheteur visé. Après tout, quand le prix est bon, l’aménagement pratique, l’offre d’équipements optionnels généreuse, le comportement routier correct et la silhouette générale agréable, que pourrait-on demander de plus?
Pour 2010, le fabricant a apporté quelques améliorations mineures au véhicule. Par exemple, un petit témoin lumineux « ECO » a fait son apparition au tableau de bord. Il s’illumine lorsque le conducteur adopte un style de conduite « réservé », surtout pour lui rappeler de le maintenir!
Les sièges avant des quatre versions bénéficient dorénavant d’appuie-têtes « actifs », plus efficaces pour protéger les occupants de ces sièges en cas de collision.
Enfin, les cinéphiles de grands parcours (c.à.d. ces enfants qu’on assagit à l’aide d’un DVD de Disney…) apprécieront assurément les nouveaux écrans vidéo de 9 pouces. Plus grands que ceux du modèle 2009, ces accessoires logés dans les appuie-têtes des sièges avant font partie de l’ensemble « Divertissement » sont offerts parmi les options des modèles SXT et R/T.
Le Journey conserve aussi sa panoplie d’équipement de sécurité, qui font partie de l’équipement de série : les systèmes antiblocage, antipatinage, antidérapage, d’assistance au freinage et même d’antilouvoiement de la remorque. Car la capacité de remorquage du Journey peut passer de 450 à 1600 kilos (1000 à 3500 livres) lorsqu’on troque le 4-cylindres pour le V6.
Le Dodge Journey conserve sa panoplie d’équipement de sécurité, qui font partie de l’équipement de série. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Deux groupes motopropulseurs, deux personnalités!
Le Journey R/T que nous avons conduit (très brièvement) sur le circuit enneigé de Mécaglisse à Notre-Dame-de-la-Merci, près de Saint-Donat, nous a rappelé la différence qui distingue ce modèle des trois autres versions.
Sa suspension à réglages plus fermes (accentué par les pneus de monte d’origine) et la servodirection plus rapide, mais pas surassistée pour autant, apportent un caractère vaguement plus sportif à ce véhicule dont la vocation familiale reste pourtant évidente.
Les sièges garnis d’un revêtement à empiècement de cuir, chauffants à l’avant (fort heureusement!), et la chaîne audio à six haut-parleurs avec caisse d’extrêmes graves (façon « Poum! Poum! ») ajoutent une vague atmosphère de luxe, mais pas assez pour donner l’illusion d’un Lexus. L’abondance de plastique noir aux textures communes nous le rappelle.
Mais cela ne gêne assurément pas l’acheteur visé. Après tout, quand le prix est bon, l’aménagement pratique, l’offre d’équipements optionnels généreuse, le comportement routier correct et la silhouette générale agréable, que pourrait-on demander de plus?