JP: Quand la Mustang a été lancée, dans les années 1960, est-ce que quelqu'un pensait qu'elle se vendrait aussi bien 40 ans plus tard?
BR: Je crois qu'à toutes les fois qu'une compagnie crée un véhicule, c'est avec l'intention qu'il dure pendant plusieurs années. C'était évidemment le cas avec la Mustang, qui n'a jamais dévié de sa course au fil des ans.
Tout le monde peut l'apprécier--homme ou femme. Et tout le monde a une histoire de Mustang à raconter. Si vous n'en avez jamais conduit une, alors vous connaissez sûrement une personne qui roule en Mustang. Aucun compétiteur ne peut en dire autant de l'une de ses voitures. Je me rappelle encore les soirées où j'étais assis sur la banquette arrière de la Mustang 1968 de mon père en train de regarder un film au ciné-parc. Quels bons souvenirs!
Par ailleurs, la Mustang n'est pas une voiture extravagante et capricieuse; on peut la prendre pour se rendre au boulot ou pour aller faire des emplettes. Bref, la Mustang est un bolide de performance que Monsieur et Madame Tout-le-monde peuvent conduire tous les jours.
JP: Nul doute que la Challenger et la Camaro en mettront plein la vue (et l'ouïe) dans l'espoir de soutirer des parts de marché à la Mustang. Que devra faire cette dernière pour conserver son emprise?
BR: Nous ferons ce que nous avons toujours fait depuis 1964: être à l'écoute des clients, de leurs besoins et de leurs préférences. De cette manière, nous arrivons à les faire rêver toujours et encore--et à les surprendre aussi. La formule employée pour la Mustang est parfaite à notre avis, alors nous ne voulons pas la gâcher.
JP: Est-ce que l'une ou l'autre des futures rivales vous inquiète plus particulièrement?
BR: Nous surveillons la compétition de près. Les produits de Dodge et de GM devront trouver des façons de se démarquer en bout de ligne et c'est le consommateur qui va décider qui sera le gagnant.
JP: Avec la flambée du prix de l'essence, avez-vous des plans pour rendre la Mustang plus éco-énergétique? À quel point cet aspect est important pour une voiture comme la Mustang?
BR: L'économie d'essence et la puissance se trouvent en tête de liste de nos priorités. Notre V6 de 4,0 litres et 210 chevaux ne consomme que 7,8 litres de carburant au 100 kilomètres avec la boîte manuelle. C'est très compétitif comme rendement.
Même avec la version GT manuelle au V8 de 300 chevaux, la consommation est seulement de 8,6 L/100 km. Nous essayons toujours d'obtenir le plus haut rendement énergétique possible sans affecter la performance. Les nouveaux matériaux et composants, par exemple, jouent un rôle clé à ce niveau.
BR: Je crois qu'à toutes les fois qu'une compagnie crée un véhicule, c'est avec l'intention qu'il dure pendant plusieurs années. C'était évidemment le cas avec la Mustang, qui n'a jamais dévié de sa course au fil des ans.
 |
Tout le monde peut l'apprécier--homme ou femme. Et tout le monde a une histoire de Mustang à raconter. Si vous n'en avez jamais conduit une, alors vous connaissez sûrement une personne qui roule en Mustang. Aucun compétiteur ne peut en dire autant de l'une de ses voitures. Je me rappelle encore les soirées où j'étais assis sur la banquette arrière de la Mustang 1968 de mon père en train de regarder un film au ciné-parc. Quels bons souvenirs!
Par ailleurs, la Mustang n'est pas une voiture extravagante et capricieuse; on peut la prendre pour se rendre au boulot ou pour aller faire des emplettes. Bref, la Mustang est un bolide de performance que Monsieur et Madame Tout-le-monde peuvent conduire tous les jours.
JP: Nul doute que la Challenger et la Camaro en mettront plein la vue (et l'ouïe) dans l'espoir de soutirer des parts de marché à la Mustang. Que devra faire cette dernière pour conserver son emprise?
BR: Nous ferons ce que nous avons toujours fait depuis 1964: être à l'écoute des clients, de leurs besoins et de leurs préférences. De cette manière, nous arrivons à les faire rêver toujours et encore--et à les surprendre aussi. La formule employée pour la Mustang est parfaite à notre avis, alors nous ne voulons pas la gâcher.
JP: Est-ce que l'une ou l'autre des futures rivales vous inquiète plus particulièrement?
BR: Nous surveillons la compétition de près. Les produits de Dodge et de GM devront trouver des façons de se démarquer en bout de ligne et c'est le consommateur qui va décider qui sera le gagnant.
JP: Avec la flambée du prix de l'essence, avez-vous des plans pour rendre la Mustang plus éco-énergétique? À quel point cet aspect est important pour une voiture comme la Mustang?
BR: L'économie d'essence et la puissance se trouvent en tête de liste de nos priorités. Notre V6 de 4,0 litres et 210 chevaux ne consomme que 7,8 litres de carburant au 100 kilomètres avec la boîte manuelle. C'est très compétitif comme rendement.
Même avec la version GT manuelle au V8 de 300 chevaux, la consommation est seulement de 8,6 L/100 km. Nous essayons toujours d'obtenir le plus haut rendement énergétique possible sans affecter la performance. Les nouveaux matériaux et composants, par exemple, jouent un rôle clé à ce niveau.
 |