Auto123.com - On vous guide du rêve à la route

Essai: BMW 330i 2006

|
Le meilleur taux d'intérêt
Alexandra Straub
Monsieur Bimmer, je crois que je suis en amour
La maniabilité de la 330i en virages serrés - grâce à sa suspension à jambes de force à double articulation à l'avant et à configuration indépendante à 5 bras à l'arrière - était phénoménale, sans mentionner
Les roues de 18 pouces ont un look sensationnel. (Photo: Alexandra Straub, Canadian Auto Press)
que les freins à disques aux quatre roues munis de quatre canaux, de l'ABS, du EBD, du BA, etc., me ralentissaient avec une force presque intimidante, tout en montrant une grâce et un sang-froid absolus. Je pourrais dire de cette BMW qu'elle "se sent aussi à l'aise sur la route qu'un canard dans l'eau", mais vous pourriez me reprocher d'être banale, parce que son adhérence à la route mérite une analogie beaucoup plus créative que tout ce qui me vient à l'esprit maintenant. Je n'ai jamais eu peur de la pousser davantage que je n'aurais pu le faire avec d'autres berlines, en partie à cause de son ensemble sport optionnel (2800$), lequel comprend une suspension sport finement calibrée, le volant en cuir à trois branches, ainsi que des pneus de performance à roulement à plat de dimension 225/40R18 à l'avant et 255/35R18 à l'arrière, montés sur des roues ellipsoïdes en alliage, mais surtout parce que même dans sa version de base, cette voiture est plus maniable que toute autre berline sur le marché. Elle ne demande qu'à être conduite, et j'étais tout à fait prête à succomber à ses désirs.

Évidemment, pendant ma semaine d'essai, je parvenais toujours à trouver une excuse pour quitter mon pupitre et me retrouver derrière le
Je parvenais toujours à trouver une excuse pour me retrouver derrière le volant. (Photo: Alexandra Straub, Canadian Auto Press)
volant. Que ce soit le double rendez-vous que j'ai eu le vendredi soir, ou encore une mini-virée de magasinage dans un centre d'achats qui était, avouons-le, pas si près de chez moi, j'étais toujours volontaire pour la corvée de conduite. Était-ce parce qu'elle m'inspirait au point de passer plus de temps au volant que je ne le ferais normalement, ou encore avais-je suffisamment de temps malgré mon horaire mouvementé, mais je suppose que pour ces petites choses de la vie que je veux réellement faire, je parviens toujours à trouver le temps, et la petite de la série 3 est devenue ma première priorité. Cela me semble raisonnable, n'est-ce pas?

Après tout, le son du moteur de 3 litres à double arbre à cames en tête et à 24 soupapes de la 330i, doté de la technologie Valvetronic (le système
Le son du moteur de 3 litres à double arbre à cames en tête et à 24 soupapes de la 330i venait me faire un picotement à la colonne vertébrale. (Photo: Alexandra Straub, Canadian Auto Press)
de calage variable des soupapes de BMW) venait me faire un picotement à la colonne vertébrale quand j'appuyais sur le champignon, manoeuvre qui produisait un maximum de 255 chevaux et 220 livres-pied de couple. Mais même à des vitesses légèrement supérieures aux vitesses d'autoroute, quand je poussais le moteur dans les hautes sphères de sa plage de révolution, j'arrivais à peine à l'entendre, puisque son habitacle est terriblement silencieux. La plupart du temps, je devais entrouvrir la glace juste un peu pour l'entendre ronronner. On se lasse rapidement de ce processus, toutefois, aussi j'ai abandonné et j'ai commencé à placer un de mes CD favoris dans l'impressionnant système audio de la 3.
Alexandra Straub
Alexandra Straub
Expert automobile
None