Adapté de GMM
L'Inde surprend et le petit monde de la F1 doit s'adapter à un nouvel environnement.
Il y a tout d'abord la crainte des maladies.
Par peur de contamination, Bruno Senna avoue au journal O Estado de S.Paulo qu’il a constamment un désinfectant liquide dans sa poche, « Je l'utilise chaque fois que je serre la main à quelqu’un ».
Rubens Barrichello s'amuse d'un pilote, à priori Sebastian Vettel, qui aurait toujours une bouteille de whisky à la main, « Quelqu’un lui a dit de se rincer la bouche chaque fois qu'il mange quelque chose », rit le pilote Williams.
Et puis il y a des situations amusantes.
Rubens Barrichello raconte en souriant : « J'ai entendu une cloche sonner à l’extérieur de l’hôtel, je suis allé sur la terrasse de ma chambre et j’ai vu que c’était un éléphant qui passait dans la rue ».
Felipe Massa se souvient des conseils de sa mère, qu'il faut avoir des pensées positives en voyant une vache, et il s'exclame : « Il y en a partout ! ».
Et beaucoup moins amusant, il y a la pauvreté extrême des habitants tout autour du circuit, qui contraste avec la F1.
Le pilote Ferrari ajoute dans The Independant : « Cela me rappelle l’état dans lequel se trouvait mon pays il y a 20 ou 30 ans. Le Brésil a évolué depuis cette période et j’espère que ce genre d’événement va aider l'Inde ».
Et enfin il y a les problèmes de mises en route d'un nouveau circuit.
Les coupures d'électricité sont très fréquentes dans les bâtiments et la conférence de presse des pilotes, jeudi, a été affecté par les coupures récurrentes.
Un ingénieur d'une équipe s'exprime dans le Guardian : « C'est le chaos ici. L'électricité ne fonctionne pas, le gaz ne fonctionne pas et il y a des problèmes de plomberie également ».
Mais le pilote indien du Team Lotus, Karun Chandhok, se veut rassurant dans le Times of India : « Ce sont des petits soucis et je suis certain que tout va se régler rapidement ».
L'Inde surprend et le petit monde de la F1 doit s'adapter à un nouvel environnement.
Il y a tout d'abord la crainte des maladies.
Par peur de contamination, Bruno Senna avoue au journal O Estado de S.Paulo qu’il a constamment un désinfectant liquide dans sa poche, « Je l'utilise chaque fois que je serre la main à quelqu’un ».
Rubens Barrichello s'amuse d'un pilote, à priori Sebastian Vettel, qui aurait toujours une bouteille de whisky à la main, « Quelqu’un lui a dit de se rincer la bouche chaque fois qu'il mange quelque chose », rit le pilote Williams.
Et puis il y a des situations amusantes.
Rubens Barrichello raconte en souriant : « J'ai entendu une cloche sonner à l’extérieur de l’hôtel, je suis allé sur la terrasse de ma chambre et j’ai vu que c’était un éléphant qui passait dans la rue ».
Felipe Massa se souvient des conseils de sa mère, qu'il faut avoir des pensées positives en voyant une vache, et il s'exclame : « Il y en a partout ! ».
Et beaucoup moins amusant, il y a la pauvreté extrême des habitants tout autour du circuit, qui contraste avec la F1.
Le pilote Ferrari ajoute dans The Independant : « Cela me rappelle l’état dans lequel se trouvait mon pays il y a 20 ou 30 ans. Le Brésil a évolué depuis cette période et j’espère que ce genre d’événement va aider l'Inde ».
Et enfin il y a les problèmes de mises en route d'un nouveau circuit.
Les coupures d'électricité sont très fréquentes dans les bâtiments et la conférence de presse des pilotes, jeudi, a été affecté par les coupures récurrentes.
Un ingénieur d'une équipe s'exprime dans le Guardian : « C'est le chaos ici. L'électricité ne fonctionne pas, le gaz ne fonctionne pas et il y a des problèmes de plomberie également ».
Mais le pilote indien du Team Lotus, Karun Chandhok, se veut rassurant dans le Times of India : « Ce sont des petits soucis et je suis certain que tout va se régler rapidement ».