D’après GMM
Le président de la Fédération française du sport automobile, la FFSA, affirme que l’élection de Jean Todt à la présidence de la FIA augmenterait les chances de voir le Grand Prix de France revenir au calendrier de la Formule 1.
L’ancien patron de Ferrari, Jean Todt (photo), se présente à la présidence de la FIA contre l’ancien champion du monde des rallyes, Ari Vatanen. Les élections auront lieu en octobre qui vient.
« Nous supportons évidemment Jean Todt, » a déclaré Nicolas Deschaux, président de la FFSA, dans les pages du quotidien français La Tribune.
« Sa carrière parle pour lui ».
Si Deschaux est sûr de voir Todt prendre les rennes de la FIA, il est toutefois moins convaincu de voir le Grand Prix de France revenir au calendrier depuis que Bernie Ecclestone ne veut plus retourner à Magny-Cours
« Il est difficile de trouver une place en F1, a-t-il dit. Le climat économique est difficile, mais nous demeurons attentifs. Nous avons ciblé plusieurs projets intéressants et nous continuons à nous battre pour avoir un Grand Prix de France. Dans ce contexte, avoir un Français à la tête de la FIA pourrait faciliter les choses, » d’affirmer Deschaux.
photo:WRI2
Le président de la Fédération française du sport automobile, la FFSA, affirme que l’élection de Jean Todt à la présidence de la FIA augmenterait les chances de voir le Grand Prix de France revenir au calendrier de la Formule 1.
L’ancien patron de Ferrari, Jean Todt (photo), se présente à la présidence de la FIA contre l’ancien champion du monde des rallyes, Ari Vatanen. Les élections auront lieu en octobre qui vient.
« Nous supportons évidemment Jean Todt, » a déclaré Nicolas Deschaux, président de la FFSA, dans les pages du quotidien français La Tribune.
« Sa carrière parle pour lui ».
Si Deschaux est sûr de voir Todt prendre les rennes de la FIA, il est toutefois moins convaincu de voir le Grand Prix de France revenir au calendrier depuis que Bernie Ecclestone ne veut plus retourner à Magny-Cours
« Il est difficile de trouver une place en F1, a-t-il dit. Le climat économique est difficile, mais nous demeurons attentifs. Nous avons ciblé plusieurs projets intéressants et nous continuons à nous battre pour avoir un Grand Prix de France. Dans ce contexte, avoir un Français à la tête de la FIA pourrait faciliter les choses, » d’affirmer Deschaux.
photo:WRI2