D’après GMM
Pilote de l’écurie de Formule 1 Red Bull Racing, Mark Webber a connu un week-end difficile en Grande-Bretagne avec la controverse de l’aileron avant ainsi qu’un empoisonnement alimentaire.
« Satanées crevettes, mon ami, » a déclaré Webber après la course lors d’une interview pour le quotidien Daily Mail. « Elles peuvent être vicieuses, n’est-ce pas ? »
Le malaise de l’Australien a été la cause de bien des blagues de son équipe, mais tout s’est apaisé lors d’un BBQ organisé dimanche dernier par le patron de l’écurie Red Bull, Christian Horner.
Webber était en furie de voir son aileron avant installé sur la monoplace de son coéquipier, Sebastian Vettel en Grande-Bretagne.
Une fois sa colère calmée, Webber a admis que ses propos incendiaires avaient pour but « d’envoyer un message à mon équipe ».
« Je ne désire aucun favoritisme ; juste un traitement égal. On ne peut pas se permettre d’avoir à travailler plus fort qu’il ne faut. Mais Sebastian n’a rien fait de mal de tout le week-end. Après la course, j’ai passé 20 minutes à discuter avec ses mécanos. Ces histoires qui affirment que les deux côtés du garage ne s’entendent pas sont de pures sottises. On ne doit pas avoir d’ennemis dans la vie. Je ne désire qu’un traitement juste, » d’affirmer l’Australien.
Pilote de l’écurie de Formule 1 Red Bull Racing, Mark Webber a connu un week-end difficile en Grande-Bretagne avec la controverse de l’aileron avant ainsi qu’un empoisonnement alimentaire.
« Satanées crevettes, mon ami, » a déclaré Webber après la course lors d’une interview pour le quotidien Daily Mail. « Elles peuvent être vicieuses, n’est-ce pas ? »
Le malaise de l’Australien a été la cause de bien des blagues de son équipe, mais tout s’est apaisé lors d’un BBQ organisé dimanche dernier par le patron de l’écurie Red Bull, Christian Horner.
Webber était en furie de voir son aileron avant installé sur la monoplace de son coéquipier, Sebastian Vettel en Grande-Bretagne.
Une fois sa colère calmée, Webber a admis que ses propos incendiaires avaient pour but « d’envoyer un message à mon équipe ».
« Je ne désire aucun favoritisme ; juste un traitement égal. On ne peut pas se permettre d’avoir à travailler plus fort qu’il ne faut. Mais Sebastian n’a rien fait de mal de tout le week-end. Après la course, j’ai passé 20 minutes à discuter avec ses mécanos. Ces histoires qui affirment que les deux côtés du garage ne s’entendent pas sont de pures sottises. On ne doit pas avoir d’ennemis dans la vie. Je ne désire qu’un traitement juste, » d’affirmer l’Australien.