D'après GMM
Lucas di Grassi révèle que Pirelli prévoit quelques changements radicaux sur la composition de ses pneus 2012.
Le pilote d'essais de Pirelli, ancien pilote de Virgin Racing en 2010, s'est entretenu avec Globo Esporte.
Lucas di Grassi affirme : « Il n’y a que quelques petites choses à améliorer. La première est de réduire les boulettes (de gommes mortes) qui s'accumulent sur la piste. Les ingénieurs travaillent pour en réduire le nombre. L’autre concerne le dépôt de gomme sur le circuit qui est irrégulier, cela est dû à une réaction chimique trop faible entre les pneus et l'asphalte ».
Le Brésilien ajoute que Pirelli cherche à allonger la « fenêtre opérationnelle » de ses pneus, car certaines équipes comme Ferrari par exemple souffrent beaucoup avec les pneus durs.
« La différence de performance avec le pneu dur peut être trop importante d'une équipe à une autre. Le but pour l’an prochain est d’améliorer cela, et encore plus l’année suivante, parce qu’on ne peut pas opérer un changement drastique », admet le pilote Pirelli.
Lucas di Grassi révèle également que Pirelli a développé une gomme capable de durer toute une course, « C’est le genre de gomme que produisait Bridgestone. Mais ce n’est pas un produit que l’on pense proposer à la F1 aujourd’hui ».
Concernant sa carrière personnelle, Lucas di Grassi aimerait rapidement retrouver la F1, mais rester chez Pirelli ou partir en IndyCar sont des options possibles.
« Mon but est de revenir en F1 mais ça dépend. Il faut que l'équipe montre un potentiel sur le long-terme. Si ce sont les mêmes conditions que j'ai eu pour ma première année en F1 (avec Virgin), alors non ».
Lucas di Grassi révèle que Pirelli prévoit quelques changements radicaux sur la composition de ses pneus 2012.
Le pilote d'essais de Pirelli, ancien pilote de Virgin Racing en 2010, s'est entretenu avec Globo Esporte.
Lucas di Grassi affirme : « Il n’y a que quelques petites choses à améliorer. La première est de réduire les boulettes (de gommes mortes) qui s'accumulent sur la piste. Les ingénieurs travaillent pour en réduire le nombre. L’autre concerne le dépôt de gomme sur le circuit qui est irrégulier, cela est dû à une réaction chimique trop faible entre les pneus et l'asphalte ».
Le Brésilien ajoute que Pirelli cherche à allonger la « fenêtre opérationnelle » de ses pneus, car certaines équipes comme Ferrari par exemple souffrent beaucoup avec les pneus durs.
« La différence de performance avec le pneu dur peut être trop importante d'une équipe à une autre. Le but pour l’an prochain est d’améliorer cela, et encore plus l’année suivante, parce qu’on ne peut pas opérer un changement drastique », admet le pilote Pirelli.
Lucas di Grassi révèle également que Pirelli a développé une gomme capable de durer toute une course, « C’est le genre de gomme que produisait Bridgestone. Mais ce n’est pas un produit que l’on pense proposer à la F1 aujourd’hui ».
Concernant sa carrière personnelle, Lucas di Grassi aimerait rapidement retrouver la F1, mais rester chez Pirelli ou partir en IndyCar sont des options possibles.
« Mon but est de revenir en F1 mais ça dépend. Il faut que l'équipe montre un potentiel sur le long-terme. Si ce sont les mêmes conditions que j'ai eu pour ma première année en F1 (avec Virgin), alors non ».