Plusieurs signes laissent croire que le manufacturier italien de pneumatiques Pirelli est sur le point de conclure une entente pour remplacer Bridgestone à titre de fournisseur de pneus de la Formule 1 à partir de la saison prochaine.
Des réunions à ce sujet ont eu lieu à Monaco le week-end dernier, et le choix final semblait opposer Michelin à Pirelli.
Le magazine britannique Autosport révèle jeudi que suite à plusieurs téléconférences impliquant les écuries membres de la FOTA, il semblerait que Pirelli ait obtenu maintenant la préférence des équipes (d’autant que Michelin voulait faire payer les écuries pour obtenir ses pneus).
Les discussions seraient suffisamment avancées pour qu’une annonce officielle soit faite ce week-end à l’occasion du Grand Prix de Turquie.
Le patron de Pirelli, Marco Tronchetti Provera, a déclaré à la Gazzetta dello Sport : « Nous verrons bien. Il y a cette possibilité. Nous devrions en savoir plus demain, vendredi ».
L’entente prévoirait que Pirelli continue à fournir les pneus de 13 pouces durant au moins deux saisons et que Pirelli recevrait des garanties qu’aucune guerre des pneus (l’arrivée d’un second manufacturier, ce que voulait Michelin) ne se fasse avant 2013.
Des réunions à ce sujet ont eu lieu à Monaco le week-end dernier, et le choix final semblait opposer Michelin à Pirelli.
Le magazine britannique Autosport révèle jeudi que suite à plusieurs téléconférences impliquant les écuries membres de la FOTA, il semblerait que Pirelli ait obtenu maintenant la préférence des équipes (d’autant que Michelin voulait faire payer les écuries pour obtenir ses pneus).
Les discussions seraient suffisamment avancées pour qu’une annonce officielle soit faite ce week-end à l’occasion du Grand Prix de Turquie.
Le patron de Pirelli, Marco Tronchetti Provera, a déclaré à la Gazzetta dello Sport : « Nous verrons bien. Il y a cette possibilité. Nous devrions en savoir plus demain, vendredi ».
L’entente prévoirait que Pirelli continue à fournir les pneus de 13 pouces durant au moins deux saisons et que Pirelli recevrait des garanties qu’aucune guerre des pneus (l’arrivée d’un second manufacturier, ce que voulait Michelin) ne se fasse avant 2013.