D'après GMM
C’est du moins ce que les rivaux de l’équipe ont déclaré samedi, avant la qualification.
En faisant référence à une hypothétique demande de Red Bull à son pilote Sebastian Vettel de laisser la place à son coéquipier Mark Webber afin que ce dernier soit sacré dimanche, le représentant des pilotes, Emanuele Pirro, avait d’ailleurs déclaré : « Ils seraient vraiment idiots de ne pas le faire ».
« Nous allons faire notre travail et réviser la situation par conséquent. Il existe plusieurs façons pour un pilote d’aider son coéquipier et il est vrai qu’un message radio codé serait quelque peu naïf à ce stade-ci », a déclaré le Romain.
Parmi les opinions qu’on retrouve dans les paddocks, on retrouve l’idée que des coéquipiers ne devraient pas avoir le droit de collaborer pour empêcher une équipe rivale de remporter le titre.
Jean Alesi croit pour sa part que Red Bull a eu tort de prétendre qu’elle laisserait les pilotes décider du sort du championnat.
« Ils se sont mis les pieds dans les plats de la façon dont ils en ont parlé », a-t-il déclaré au National. « Ils ont laissé croire qu’ils ne s’en mêleraient pas, mais ce n’est pas vrai. Ils n’auront pas le choix », a insisté le Français.
Le patron de Ferrari, Stefano Domenicali, a pour sa part fait savoir qu’il ne se plaindrait pas s’il réalisait que Red Bull avait demandé à Vettel de céder sa place à Webber dimanche, qualifiant cette saga de « non-sens ».
« Cette règle ne peut simplement pas être contrôlée, elle devrait donc être abolie », a-t-il déclaré. « Si quelqu’un est d’avis qu’une équipe a nui à l’image du sport, la section 151 du code sportif s’appliquerait. »
« Ce paragraphe devrait être reconsidéré [celui interdisant les consignes d’équipe, NDLR]. Ou bien il devient valide et de vraies pénalités sont infligées, ou alors ça ne s’applique simplement pas, ce qui est selon moi beaucoup plus réaliste. »
« Il y a des consignes d’équipe en Formule 1 parce que c’est un sport d’équipe », a-t-il ajouté dans une entrevue donnée au Bild Sport.
C’est du moins ce que les rivaux de l’équipe ont déclaré samedi, avant la qualification.
En faisant référence à une hypothétique demande de Red Bull à son pilote Sebastian Vettel de laisser la place à son coéquipier Mark Webber afin que ce dernier soit sacré dimanche, le représentant des pilotes, Emanuele Pirro, avait d’ailleurs déclaré : « Ils seraient vraiment idiots de ne pas le faire ».
« Nous allons faire notre travail et réviser la situation par conséquent. Il existe plusieurs façons pour un pilote d’aider son coéquipier et il est vrai qu’un message radio codé serait quelque peu naïf à ce stade-ci », a déclaré le Romain.
Parmi les opinions qu’on retrouve dans les paddocks, on retrouve l’idée que des coéquipiers ne devraient pas avoir le droit de collaborer pour empêcher une équipe rivale de remporter le titre.
Jean Alesi croit pour sa part que Red Bull a eu tort de prétendre qu’elle laisserait les pilotes décider du sort du championnat.
« Ils se sont mis les pieds dans les plats de la façon dont ils en ont parlé », a-t-il déclaré au National. « Ils ont laissé croire qu’ils ne s’en mêleraient pas, mais ce n’est pas vrai. Ils n’auront pas le choix », a insisté le Français.
Le patron de Ferrari, Stefano Domenicali, a pour sa part fait savoir qu’il ne se plaindrait pas s’il réalisait que Red Bull avait demandé à Vettel de céder sa place à Webber dimanche, qualifiant cette saga de « non-sens ».
« Cette règle ne peut simplement pas être contrôlée, elle devrait donc être abolie », a-t-il déclaré. « Si quelqu’un est d’avis qu’une équipe a nui à l’image du sport, la section 151 du code sportif s’appliquerait. »
« Ce paragraphe devrait être reconsidéré [celui interdisant les consignes d’équipe, NDLR]. Ou bien il devient valide et de vraies pénalités sont infligées, ou alors ça ne s’applique simplement pas, ce qui est selon moi beaucoup plus réaliste. »
« Il y a des consignes d’équipe en Formule 1 parce que c’est un sport d’équipe », a-t-il ajouté dans une entrevue donnée au Bild Sport.