James Allen, le réputé journaliste de Formule 1, a mis sur le site YouTube les images des premiers tours de piste réalisés sur le tracé de Yas Marina à Abu Dhabi, là où sera tenue la manche finale du Championnat du monde de F1.
Les images ont été enregistrées par une caméra installée sur l'arceau de sécurité d'une biplace de F1 pilotée par le Brésilien Bruno Senna.
D'entrée de jeu, la sortie des stands est périlleuse. Le pilote doit longtemps rouler à basse vitesse dans les puits, ce qui jouera un rôle dans le nombre de ravitaillements effectués en course.
Puis, la sortie des puits est incroyablement étroite, est en pente descendante avant de remonter. Le tout avec un virage à gauche en plein milieu! Qu'arrivera-t-il si une voiture percute le mur et reste coincée dans ce dédale ? Ne riez pas, c'est déjà arrivé...
Le tracé est plat, ce qui est normal, car nous sommes dans la zone portuaire.
La plupart des virages sont lents, probablement sur le 2e ou le 3e rapport avec une Formule 1 moderne. Les vibreurs semblent être relativement plats et très (trop?) faciles à escalader.
Les dépassements ne seront pas faciles à effectuer. Il n'y a que deux lignes droites dignes de ce nom, et les freinages situés au bout ne sont pas à couper le souffle.
Certains murets sont placés relativement près de la piste. Il existe des zones de dégagements, mais si une monoplace est accrochée par une autre, elle risque fort de percuter le muret à certains endroits.
On constate que le grip mécanique jouera un rôle beaucoup plus important que le grip aérodynamique.
Bref, un circuit pas trop rapide qui risque toutefois de générer une procession de voitures. Le circuit urbain de Valencia en Espagne, beaucoup plus rapide, devait être le théâtre de courses excitantes et ce n'est malheureusement pas le cas.
Verdict final le mois prochain.
Les images ont été enregistrées par une caméra installée sur l'arceau de sécurité d'une biplace de F1 pilotée par le Brésilien Bruno Senna.
D'entrée de jeu, la sortie des stands est périlleuse. Le pilote doit longtemps rouler à basse vitesse dans les puits, ce qui jouera un rôle dans le nombre de ravitaillements effectués en course.
Puis, la sortie des puits est incroyablement étroite, est en pente descendante avant de remonter. Le tout avec un virage à gauche en plein milieu! Qu'arrivera-t-il si une voiture percute le mur et reste coincée dans ce dédale ? Ne riez pas, c'est déjà arrivé...
Le tracé est plat, ce qui est normal, car nous sommes dans la zone portuaire.
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La plupart des virages sont lents, probablement sur le 2e ou le 3e rapport avec une Formule 1 moderne. Les vibreurs semblent être relativement plats et très (trop?) faciles à escalader.
Les dépassements ne seront pas faciles à effectuer. Il n'y a que deux lignes droites dignes de ce nom, et les freinages situés au bout ne sont pas à couper le souffle.
Certains murets sont placés relativement près de la piste. Il existe des zones de dégagements, mais si une monoplace est accrochée par une autre, elle risque fort de percuter le muret à certains endroits.
On constate que le grip mécanique jouera un rôle beaucoup plus important que le grip aérodynamique.
Bref, un circuit pas trop rapide qui risque toutefois de générer une procession de voitures. Le circuit urbain de Valencia en Espagne, beaucoup plus rapide, devait être le théâtre de courses excitantes et ce n'est malheureusement pas le cas.
Verdict final le mois prochain.