Position de conduite
La première chose que j'ai remarquée en entrant dans l'habitacle, c'est le siège du conducteur parfaitement adapté à mon corps. Tout semblait taillé sur mesure. Après avoir reculé l'assise pour rejoindre confortablement les pédales, j'ai trouvé que le volant et le levier tombaient naturellement sous la main. Voilà ce que j'appelle un environnement intuitif! Par surcroît, les miroirs latéraux s'avèrent bien dimensionnés et simples à ajuster. En fin de compte, il m'a fallu quelques secondes à peine pour trouver une bonne position de conduite.
Banquette arrière
La banquette arrière de la Fiesta ne m'a pas donné l'impression d'offrir suffisamment d'espace pour les jambes lorsqu'une personne de grande taille s'assoit juste devant. Je ne l'ai pas vérifié moi-même, car j'ai toujours dit que celui qui effectue les mensualités ne doit pas se voir relégué aux places arrière. Mon fiston m'a par contre assuré que la banquette offre un degré de confort raisonnable et un dégagement convenable pour la tête. Il n'a pas semblé manquer d'espace au niveau des épaules et des hanches non plus. Quand j'avançais un peu mon siège, il se disait même très à l'aise.
Il faut noter que les dossiers asymétriques (60/40) se rabattent pour accroître le volume de chargement disponible – essentiel lorsqu'on ramène 500 $ d'épicerie de chez Costco. Si toutefois la facture se limite à une centaine de dollars, ils peuvent rester relevés.
Confort et convivialité
La Ford Fiesta a vite conquis la famille, devenant notre véhicule de prédilection pour la majorité des sorties. Les sièges avant chauffants (un peu lents à se réchauffer mais tout de même efficaces) et la chaufferette compétente aident franchement à oublier le temps glacial lorsqu'on prend la route. À cela s'ajoutent une boîte à cinq rapports facile à manipuler ainsi qu'un quatre-cylindres de 1,6 litre (120 chevaux) souple dans ses actions. Accélérer devient un jeu d'enfant.
Conduite
Croyez-moi, la Fiesta surprend par sa douceur et sa rapidité à atteindre les limites de vitesse, que ce soit en ville ou sur l'autoroute. En décollant d'un feu de circulation, il suffit de passer de la première à la deuxième et vous direz « Bonjour Monsieur l’Agent! ». Pour entrer sur l'autoroute, idem – seulement, un rapport en plus.
La première chose que j'ai remarquée en entrant dans l'habitacle, c'est le siège du conducteur parfaitement adapté à mon corps. Tout semblait taillé sur mesure. Après avoir reculé l'assise pour rejoindre confortablement les pédales, j'ai trouvé que le volant et le levier tombaient naturellement sous la main. Voilà ce que j'appelle un environnement intuitif! Par surcroît, les miroirs latéraux s'avèrent bien dimensionnés et simples à ajuster. En fin de compte, il m'a fallu quelques secondes à peine pour trouver une bonne position de conduite.
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| La première chose que j'ai remarquée en entrant dans l'habitacle, c'est le siège du conducteur parfaitement adapté à mon corps. (Photo: Charles Renny/Auto123.com) |
Banquette arrière
La banquette arrière de la Fiesta ne m'a pas donné l'impression d'offrir suffisamment d'espace pour les jambes lorsqu'une personne de grande taille s'assoit juste devant. Je ne l'ai pas vérifié moi-même, car j'ai toujours dit que celui qui effectue les mensualités ne doit pas se voir relégué aux places arrière. Mon fiston m'a par contre assuré que la banquette offre un degré de confort raisonnable et un dégagement convenable pour la tête. Il n'a pas semblé manquer d'espace au niveau des épaules et des hanches non plus. Quand j'avançais un peu mon siège, il se disait même très à l'aise.
Il faut noter que les dossiers asymétriques (60/40) se rabattent pour accroître le volume de chargement disponible – essentiel lorsqu'on ramène 500 $ d'épicerie de chez Costco. Si toutefois la facture se limite à une centaine de dollars, ils peuvent rester relevés.
Confort et convivialité
La Ford Fiesta a vite conquis la famille, devenant notre véhicule de prédilection pour la majorité des sorties. Les sièges avant chauffants (un peu lents à se réchauffer mais tout de même efficaces) et la chaufferette compétente aident franchement à oublier le temps glacial lorsqu'on prend la route. À cela s'ajoutent une boîte à cinq rapports facile à manipuler ainsi qu'un quatre-cylindres de 1,6 litre (120 chevaux) souple dans ses actions. Accélérer devient un jeu d'enfant.
Conduite
Croyez-moi, la Fiesta surprend par sa douceur et sa rapidité à atteindre les limites de vitesse, que ce soit en ville ou sur l'autoroute. En décollant d'un feu de circulation, il suffit de passer de la première à la deuxième et vous direz « Bonjour Monsieur l’Agent! ». Pour entrer sur l'autoroute, idem – seulement, un rapport en plus.
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| La Fiesta SES possède un quatre-cylindres de 1,6 litre (120 chevaux) qui est souple dans ses actions. (Photo: Ford) |