Mécanique
Dieu merci, on a finalement retiré le V6 de 3.8 litres qui prenait place sous le capot de la Windstar. Glouton et vraiment dépassé, ce moteur offrait tout de même une puissance adéquate et une certaine fiabilité. Ford a choisi de le remplacer par un autre V6, qui trônait jusqu'à tout récemment sous le capot de l'ancienne génération des camionnettes F-150. D'une cylindrée de 4.2 litres, il offre une puissance de 202 chevaux et un couple de 267 lb/pi, ce qui représente une augmentation du couple de 11.25 % par rapport à l'ancien moteur.
Malheureusement, ce V6 demeure aussi rugueux que le 3.8 litres et n'offre pas la souplesse qu'on retrouve dans la majorité des moteurs de la concurrence. Bruyant en accélération, il devient cependant à peine audible lorsqu'on atteint une vitesse de croisière. Les accélérations sont adéquates avec un temps de 10.2 secondes pour franchir le 0-100 km/h. Par contre, les reprises sont plus vives et permettent d'effectuer facilement des dépassements. Au niveau de la consommation d'essence, la Freestar est victime de son poids et de sa cylindrée. Elle fait cependant mieux que certaines concurrentes comme la Kia Sedona, mais ne peut se vanter d'être vraiment économique, au même titre que la Venture de Chevrolet. La moyenne obtenue au cours de mon essai était de 14.7 litres au 100 kilomètres. C'est du moins ce que l'ordinateur de voyage indiquait.
Là où la Freestar gagne des points, c'est au niveau de la boîte automatique, qui a été entièrement révisée pour 2004. Les changements de vitesses se font de manière plus discrète et la rapidité d'exécution offre des reprises plus incisives. Vous ne ressentirez donc plus de secousses lorsque la boîte change de rapports ou lorsque vous engagez la marche arrière. Bien étagée, elle permet au moteur de ne tourner qu'à seulement 1800 tr/min à 100 km/h, ce qui favorise la consommation d'essence.
Comportement
Même si la Freestar conserve une suspension arrière à essieu rigide, son niveau de confort est grandement amélioré. La suspension absorbe mieux les imperfections de la route et n'a pas tendance à sautiller, comme c'était le cas sur la Windstar. Plus ferme, elle offre également une stabilité directionnelle supérieure et tenue de route plus saine. En virage, la Freestar est stable, sécuritaire et ne présente pas un roulis trop prononcé. Par contre, les pneus de marque Uniroyal effectuent un travail quelconque et s'avèrent relativement bruyants.
Dieu merci, on a finalement retiré le V6 de 3.8 litres qui prenait place sous le capot de la Windstar. Glouton et vraiment dépassé, ce moteur offrait tout de même une puissance adéquate et une certaine fiabilité. Ford a choisi de le remplacer par un autre V6, qui trônait jusqu'à tout récemment sous le capot de l'ancienne génération des camionnettes F-150. D'une cylindrée de 4.2 litres, il offre une puissance de 202 chevaux et un couple de 267 lb/pi, ce qui représente une augmentation du couple de 11.25 % par rapport à l'ancien moteur. Malheureusement, ce V6 demeure aussi rugueux que le 3.8 litres et n'offre pas la souplesse qu'on retrouve dans la majorité des moteurs de la concurrence. Bruyant en accélération, il devient cependant à peine audible lorsqu'on atteint une vitesse de croisière. Les accélérations sont adéquates avec un temps de 10.2 secondes pour franchir le 0-100 km/h. Par contre, les reprises sont plus vives et permettent d'effectuer facilement des dépassements. Au niveau de la consommation d'essence, la Freestar est victime de son poids et de sa cylindrée. Elle fait cependant mieux que certaines concurrentes comme la Kia Sedona, mais ne peut se vanter d'être vraiment économique, au même titre que la Venture de Chevrolet. La moyenne obtenue au cours de mon essai était de 14.7 litres au 100 kilomètres. C'est du moins ce que l'ordinateur de voyage indiquait.
Là où la Freestar gagne des points, c'est au niveau de la boîte automatique, qui a été entièrement révisée pour 2004. Les changements de vitesses se font de manière plus discrète et la rapidité d'exécution offre des reprises plus incisives. Vous ne ressentirez donc plus de secousses lorsque la boîte change de rapports ou lorsque vous engagez la marche arrière. Bien étagée, elle permet au moteur de ne tourner qu'à seulement 1800 tr/min à 100 km/h, ce qui favorise la consommation d'essence.
Comportement
Même si la Freestar conserve une suspension arrière à essieu rigide, son niveau de confort est grandement amélioré. La suspension absorbe mieux les imperfections de la route et n'a pas tendance à sautiller, comme c'était le cas sur la Windstar. Plus ferme, elle offre également une stabilité directionnelle supérieure et tenue de route plus saine. En virage, la Freestar est stable, sécuritaire et ne présente pas un roulis trop prononcé. Par contre, les pneus de marque Uniroyal effectuent un travail quelconque et s'avèrent relativement bruyants.