Davantage une 2 plus 2, la Mustang GT offre des places étroites à l'arrière. Par contre, le coffre permet de loger aisément ce qu'il faut pour le week-end. Mais attention, ne surchargez pas le coffre, car vous risquez de casser le plastique intérieur qui protège la serrure.
Moteur, châssis et suspension retouchés
Tout comme en 2001, les ingénieurs de Ford ont pris soin de renforcer le châssis et la suspension de la GT pour s'assurer que la voiture s'adapte à la puissance (315 chevaux) et au couple (325 livres-pied) rehaussés du moteur ainsi qu'à l'accélération plus rapide de la voiture grâce au rapport de pont 3,73 : 1 spécifique à la version Bullitt. On a également poussé la ligne rouge du moteur de 250 tr/min, ce qui permet des passages à 6000 tr/min. J'ai atteint sur le deuxième rapport les 100 km/h en 5,7 secondes en utilisant le système d'antipatinage. Comme c'est le cas de toutes les Mustang GT, les passages de 1 à 2 et de 3 à 4 se font rapidement : mais il faut guider lentement le levier pour passer du deuxième au troisième rapport, sinon on risque d'entendre un crissement des rapports. Malgré cela, les dépassements de 80 à 120 km/h sont plus rapides si l'on utilise les deuxième et troisième rapports (3,8 s) que le troisième rapport seul (4,33 s). Au chapitre de la tenue de route, on ajouté une barre transversale reliant les tourelles d'amortisseurs avant pour donner au châssis une plus grande rigidité latérale et torsionnelle; des barres stabilisatrices de plus gros diamètre s'ajoutent aux amortisseurs et aux ressorts sport.
La Bullitt porte son nom
Quand on tourne la clef, et que le moteur démarre, la magie s'allume... à ne pas en croire ses oreilles. On reconnaît la sonorité sourde si distinctive des V-8, mais avec un brin de base tout à fait unique au moteur de la Mustang Bullitt d'origine. Les ingénieurs ont concocté un système d'échappement double propre à la version Bullitt.
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| Les ingénieurs de Ford ont poussé la ligne rouge du moteur de 250 tr/min, ce qui permet des passages à 6000 tr/min. |
Moteur, châssis et suspension retouchés
Tout comme en 2001, les ingénieurs de Ford ont pris soin de renforcer le châssis et la suspension de la GT pour s'assurer que la voiture s'adapte à la puissance (315 chevaux) et au couple (325 livres-pied) rehaussés du moteur ainsi qu'à l'accélération plus rapide de la voiture grâce au rapport de pont 3,73 : 1 spécifique à la version Bullitt. On a également poussé la ligne rouge du moteur de 250 tr/min, ce qui permet des passages à 6000 tr/min. J'ai atteint sur le deuxième rapport les 100 km/h en 5,7 secondes en utilisant le système d'antipatinage. Comme c'est le cas de toutes les Mustang GT, les passages de 1 à 2 et de 3 à 4 se font rapidement : mais il faut guider lentement le levier pour passer du deuxième au troisième rapport, sinon on risque d'entendre un crissement des rapports. Malgré cela, les dépassements de 80 à 120 km/h sont plus rapides si l'on utilise les deuxième et troisième rapports (3,8 s) que le troisième rapport seul (4,33 s). Au chapitre de la tenue de route, on ajouté une barre transversale reliant les tourelles d'amortisseurs avant pour donner au châssis une plus grande rigidité latérale et torsionnelle; des barres stabilisatrices de plus gros diamètre s'ajoutent aux amortisseurs et aux ressorts sport.
La Bullitt porte son nom
Quand on tourne la clef, et que le moteur démarre, la magie s'allume... à ne pas en croire ses oreilles. On reconnaît la sonorité sourde si distinctive des V-8, mais avec un brin de base tout à fait unique au moteur de la Mustang Bullitt d'origine. Les ingénieurs ont concocté un système d'échappement double propre à la version Bullitt.
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| Les ingénieurs ont concocté un système d'échappement double propre à la version Bullitt. |