Par exemple, certains ne comprenaient tout simplement pas pourquoi Ford avait gardé l'essieu arrière rigide étant donné les progrès énormes dans le domaine des suspensions. Personnellement, je trouve qu'il s'agit d'un coup de génie! Non seulement la Mustang respecte l'esprit des muscle cars d'antan, mais elle possède aussi le caractère nerveux du cheval sauvage dont elle a pris le nom.
C'est d'ailleurs ce qui la rend si attirante. Pour moi, la nouvelle Mustang est une interprétation moderne d'un muscle car classique: simple, un peu rudimentaire, non sans faille mais terriblement décontractée et excitante.
Peu de changements caractérisent l'année-modèle 2007. La version GT propose un nouvel ensemble Californie comprenant notamment des roues de 18 pouces, des becquets avant et arrière spécifiques, des bandes décoratives latérales, des prises d'air latérales ainsi que des inserts en cuir dans les sièges. L'ensemble Apparence GT ajoute des embouts d'échappement brillants et arrondis, une prise d'air sur le capot et un couvercle de moteur avec emblème Mustang.
Premier contact
Mon modèle d'essai, un coupé GT 2007, m'a fait bonne impression. Avec son manteau gris métallisé, ses bandes décoratives noires, ses roues massives et ses phares juxtaposés à la calandre, il ressemblait à «Eleanor» dans le film Parti en 60 secondes. Bref, pas moyen de passer inaperçue.
Moi qui adorais le profil élancé de la Mustang des années 1960, j'ai d'abord trouvé le nouveau design un peu trop gonflé. Cependant, quand j'ai découvert toute la force de caractère de la voiture et entendu son vibrant grognement, j'ai été convaincue. D'ailleurs, j'ai eu tellement de plaisir au volant et j'ai vu tellement de sourires en direction de la Mustang que j'en oubliais facilement ses proportions excessives.
À l'intérieur
L'empattement allongé de six pouces (15 centimètres) a permis de créer l'habitacle de Mustang le plus spacieux à ce jour. L'aménagement est simpliste et digne d'un vrai muscle car -- Dieu merci, les accents de couleur rouge vif qui décoraient le modèle en 2005 ont disparu. Les sièges en cuir noir à multiples réglages électriques se sont avérés confortables, la position de conduite étant adéquate. En revanche, les sièges arrière rabattables 50/50, bien que fonctionnels, engendraient un peu de claustrophobie chez les passagers qui m'ont accompagnée: la ligne de toit fuyante passait dangereusement près de leur tête.
Les cadrans d'allure rétro, profondément encastrés, peuvent changer de couleur en appuyant sur un bouton, question de refléter l'humeur du conducteur. J'ai trouvé cette fonction un peu farfelue, mais j'imagine qu'elle plaira à une clientèle précise (sans doute la même qui optera pour le V6 avec boîte automatique).
C'est d'ailleurs ce qui la rend si attirante. Pour moi, la nouvelle Mustang est une interprétation moderne d'un muscle car classique: simple, un peu rudimentaire, non sans faille mais terriblement décontractée et excitante.
Peu de changements caractérisent l'année-modèle 2007. La version GT propose un nouvel ensemble Californie comprenant notamment des roues de 18 pouces, des becquets avant et arrière spécifiques, des bandes décoratives latérales, des prises d'air latérales ainsi que des inserts en cuir dans les sièges. L'ensemble Apparence GT ajoute des embouts d'échappement brillants et arrondis, une prise d'air sur le capot et un couvercle de moteur avec emblème Mustang.
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| Ces roues en aluminium de 18 pouces sont optionnelles avec la version GT. |
Premier contact
Mon modèle d'essai, un coupé GT 2007, m'a fait bonne impression. Avec son manteau gris métallisé, ses bandes décoratives noires, ses roues massives et ses phares juxtaposés à la calandre, il ressemblait à «Eleanor» dans le film Parti en 60 secondes. Bref, pas moyen de passer inaperçue.
Moi qui adorais le profil élancé de la Mustang des années 1960, j'ai d'abord trouvé le nouveau design un peu trop gonflé. Cependant, quand j'ai découvert toute la force de caractère de la voiture et entendu son vibrant grognement, j'ai été convaincue. D'ailleurs, j'ai eu tellement de plaisir au volant et j'ai vu tellement de sourires en direction de la Mustang que j'en oubliais facilement ses proportions excessives.
À l'intérieur
L'empattement allongé de six pouces (15 centimètres) a permis de créer l'habitacle de Mustang le plus spacieux à ce jour. L'aménagement est simpliste et digne d'un vrai muscle car -- Dieu merci, les accents de couleur rouge vif qui décoraient le modèle en 2005 ont disparu. Les sièges en cuir noir à multiples réglages électriques se sont avérés confortables, la position de conduite étant adéquate. En revanche, les sièges arrière rabattables 50/50, bien que fonctionnels, engendraient un peu de claustrophobie chez les passagers qui m'ont accompagnée: la ligne de toit fuyante passait dangereusement près de leur tête.
Les cadrans d'allure rétro, profondément encastrés, peuvent changer de couleur en appuyant sur un bouton, question de refléter l'humeur du conducteur. J'ai trouvé cette fonction un peu farfelue, mais j'imagine qu'elle plaira à une clientèle précise (sans doute la même qui optera pour le V6 avec boîte automatique).
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| La disposition du tableau de bord est simple et les commandes sont faciles à utiliser. |