Même en propulsant une voiture de cette taille, et de ce poids, il se montre assez souple, et capable de bien des prouesses tant en accélération qu’en reprise.
La transmission automatique 6 vitesses avec palettes au volant répond bien à la demande, et en mode totalement automatisée, effectue ses changements avec aisance et discrétion. En mode manuel cependant, le temps de réponse n’est pas aussi rapide que l’on pourrait le souhaiter, ce qui dans certaines conditions est un désavantage. Vite oublié, cependant, une fois revenu au mode automatique.
Et même si nous avons tout de même manifesté quelques réserves, disons que les routes sinueuses de la Caroline se prêtaient plutôt bien à quelques exercices dynamiques que la Taurus a affrontés sans coup férir, et que le système de traction intégrale Haldex optionnel a aussi maîtrisées avec aisance.
Une tonne de techno
Outre une conduite agréable et un design plus inspiré, la nouvelle Taurus renaît de ses cendres adaptée au goût du jour, en intégrant une flopée de technologies uniques dans ce créneau. Bien sûr, l’entrée sans clé, toujours jumelée au clavier numérique de Ford, est toujours présente, mais améliorée.
Ajoutons des systèmes comme le MyKey, un régulateur de vitesse adaptatif, le système de repérage des angles morts copiés du Blis de Volvo, des essuie-glaces à capteurs de pluie, et le système Sync version améliorée, qui non seulement augmente ses capacités vocales, mais intègre, aux États-Unis du moins, la capacité de guider comme un GPS, ou de trouver l’essence la moins chère dans les environs.
Révolutionnaire, peut-être pas. Mais la Taurus est toute une voiture, tant en version de base SE, qu’en version SEL haut de gamme. Pour une voiture de cette taille, elle s’impose, dans tous les sens du terme. Une renaissance réussie pour Ford qui redonne ainsi un peu de lustre à un nom plutôt maltraité au fil des ans et que vous pourrez voir dès son arrivée au pays, en août prochain.
photo:Marc Bouchard, Ford
La transmission automatique 6 vitesses avec palettes au volant répond bien à la demande, et en mode totalement automatisée, effectue ses changements avec aisance et discrétion. En mode manuel cependant, le temps de réponse n’est pas aussi rapide que l’on pourrait le souhaiter, ce qui dans certaines conditions est un désavantage. Vite oublié, cependant, une fois revenu au mode automatique.
Et même si nous avons tout de même manifesté quelques réserves, disons que les routes sinueuses de la Caroline se prêtaient plutôt bien à quelques exercices dynamiques que la Taurus a affrontés sans coup férir, et que le système de traction intégrale Haldex optionnel a aussi maîtrisées avec aisance.
La Taurus est toute une voiture, tant en version de base SE, qu’en version SEL haut de gamme. |
Une tonne de techno
Outre une conduite agréable et un design plus inspiré, la nouvelle Taurus renaît de ses cendres adaptée au goût du jour, en intégrant une flopée de technologies uniques dans ce créneau. Bien sûr, l’entrée sans clé, toujours jumelée au clavier numérique de Ford, est toujours présente, mais améliorée.
Ajoutons des systèmes comme le MyKey, un régulateur de vitesse adaptatif, le système de repérage des angles morts copiés du Blis de Volvo, des essuie-glaces à capteurs de pluie, et le système Sync version améliorée, qui non seulement augmente ses capacités vocales, mais intègre, aux États-Unis du moins, la capacité de guider comme un GPS, ou de trouver l’essence la moins chère dans les environs.
Révolutionnaire, peut-être pas. Mais la Taurus est toute une voiture, tant en version de base SE, qu’en version SEL haut de gamme. Pour une voiture de cette taille, elle s’impose, dans tous les sens du terme. Une renaissance réussie pour Ford qui redonne ainsi un peu de lustre à un nom plutôt maltraité au fil des ans et que vous pourrez voir dès son arrivée au pays, en août prochain.
photo:Marc Bouchard, Ford