Finition haut de gamme
D’accord, j’entends d’ici les sceptiques croire que je suis tombé sur la tête, en qualifiant la finition Ford de haut de gamme. Ce qui est pourtant le cas. Le design de l’habitacle a été soigné, proposant des commandes à l’ergonomie calculée et une planche de bord moderne, et facile à utiliser.
On a, par exemple, modifié le mode d’assemblage de la console centrale. Auparavant il s’agissait d’une pièce assemblée à part puis insérée dans la cabine. Désormais, elle est assemblée directement en place, ce qui élimine un joint apparent juste au bas de la console. Résultat : un fini plus luxueux, et surtout une chance de moins d’entendre des craquements indésirables.
Évidemment, même si les matériaux sont de qualité, ils continuent d’être abordables, c’est-à-dire que les boiseries sont en fait un film opaque à motif, et les cuirs, de simples plastiques bien confectionnés (les vrais matériaux étant réservés à Lincoln). Une note exceptionnelle cependant pour l’intérieur des portières, assemblées à l’aide de polyuréthane injecté. Concrètement, on prépare un moule à l’aide d’une véritable pièce de cuir, et on y souffle de l’uréthane liquide. Le moulage obtenu est sans reproche, et on le confond aisément avec la réalité.
Mentionnons que, comme on peut s’y attendre, la Taurus propose beaucoup d’espace intérieur, et que l’on a même pris soin de relever légèrement la garniture de plafond pour favoriser un meilleur dégagement de la tête à l’arrière.
Quant aux sièges, ils sont confortables, assez soutenants mais sans excès, surtout en conduite plus dynamique, mais ils proposent, en option, un système de massage pour le dos ou les fesses qui, à lui seul, vaut bien son pesant d’or. Au terme d’une longue journée au volant, même si je ne suis pas un mordu de massage, j’ai apprécié le petit mouvement bien placé.
Une berline qui se déplace
Une fois installé au volant, c’est sur la route que l’on veut ressentir la Taurus, et même dans sa version SEL (et non la SHO), elle se meut avec une aisance certaine. Il faut dire que le moteur V6 3,5 litres de 263 chevaux n’est pas exactement un nouveau venu, et a déjà fait ses preuves.
D’accord, j’entends d’ici les sceptiques croire que je suis tombé sur la tête, en qualifiant la finition Ford de haut de gamme. Ce qui est pourtant le cas. Le design de l’habitacle a été soigné, proposant des commandes à l’ergonomie calculée et une planche de bord moderne, et facile à utiliser.
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On a, par exemple, modifié le mode d’assemblage de la console centrale. Auparavant il s’agissait d’une pièce assemblée à part puis insérée dans la cabine. Désormais, elle est assemblée directement en place, ce qui élimine un joint apparent juste au bas de la console. Résultat : un fini plus luxueux, et surtout une chance de moins d’entendre des craquements indésirables.
Évidemment, même si les matériaux sont de qualité, ils continuent d’être abordables, c’est-à-dire que les boiseries sont en fait un film opaque à motif, et les cuirs, de simples plastiques bien confectionnés (les vrais matériaux étant réservés à Lincoln). Une note exceptionnelle cependant pour l’intérieur des portières, assemblées à l’aide de polyuréthane injecté. Concrètement, on prépare un moule à l’aide d’une véritable pièce de cuir, et on y souffle de l’uréthane liquide. Le moulage obtenu est sans reproche, et on le confond aisément avec la réalité.
Mentionnons que, comme on peut s’y attendre, la Taurus propose beaucoup d’espace intérieur, et que l’on a même pris soin de relever légèrement la garniture de plafond pour favoriser un meilleur dégagement de la tête à l’arrière.
Quant aux sièges, ils sont confortables, assez soutenants mais sans excès, surtout en conduite plus dynamique, mais ils proposent, en option, un système de massage pour le dos ou les fesses qui, à lui seul, vaut bien son pesant d’or. Au terme d’une longue journée au volant, même si je ne suis pas un mordu de massage, j’ai apprécié le petit mouvement bien placé.
Une berline qui se déplace
Une fois installé au volant, c’est sur la route que l’on veut ressentir la Taurus, et même dans sa version SEL (et non la SHO), elle se meut avec une aisance certaine. Il faut dire que le moteur V6 3,5 litres de 263 chevaux n’est pas exactement un nouveau venu, et a déjà fait ses preuves.
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| Le moteur V6 3,5 litres de 263 chevaux n’est pas exactement un nouveau venu. |