N'oublions pas le symbole de Service approuvé de réparation automobile. Émis par l'Association canadienne des automobilistes (CAA), celui-ci confirme que l'entreprise répond à des normes précises. Pour connaître la liste des garages approuvés par le CAA, visitez le site Internet de votre club local, par exemple www.caaquebec.com.
D'autre part, une enquête auprès du Better Business Bureau vous indiquera si des plaintes ont été formulées à l'endroit d'un garage. Ni le CAA, ni le BBB ne propose un répertoire des centres de réparation qui répondent spécialement aux besoins des femmes, mais ils permettent de trier le bon du mauvais.
Sandy Spicer conseille aux femmes propriétaires de véhicules de se renseigner sur leur garage avant qu'un problème mécanique important survienne. « Et faites confiance à votre instinct. Si vous vous sentez à l'aise de visiter tel ou tel endroit pour une réparation mineure, vous n'aurez généralement pas à craindre une réparation majeure », dit-elle.
Comme dans toute relation, le succès dépend de l'effort des différentes parties. Partout où vous allez, même chez les garages qui vous inspirent le plus confiance, vous pouvez faciliter la communication, par exemple en demandant une estimation des coûts avant que le travail débute et en exigeant de connaître à l'avance tout dépassement possible afin d'éviter les mauvaises surprises. S'il s'agit d'un problème intermittent, le technicien aimera savoir à quels moments, à quelle vitesse et dans quelles conditions routières il se produit habituellement.
Vous pouvez en apprendre davantage sur votre véhicule simplement en posant des questions, en insistant pour voir les pièces à remplacer et en jetant un coup d'oeil sous le capot une fois le travail terminé. Après plusieurs années, ces occasions d'apprentissage rehausseront votre expertise et votre confiance en tout ce qui a trait à la mécanique automobile.
Quand Nic's Garage a ouvert ses portes, 80 % de la clientèle étaient des femmes. Sandy Spicer parle aujourd'hui d'un ratio de 50-50. Elle croit que les hommes veulent aussi se sentir à l'aise de poser des questions. Après tout, les véhicules deviennent de plus en plus complexes et sophistiqués, ce qui fait que moins d'entre eux savent réparer le leur.
Nous voulons toutes trouver un médecin, un dentiste ou une coiffeuse qui nous inspire confiance et nous rassure. Il en va de même pour un mécanicien. Le but consiste à développer une solide relation qui, avec un peu de chance, durera très longtemps.
D'autre part, une enquête auprès du Better Business Bureau vous indiquera si des plaintes ont été formulées à l'endroit d'un garage. Ni le CAA, ni le BBB ne propose un répertoire des centres de réparation qui répondent spécialement aux besoins des femmes, mais ils permettent de trier le bon du mauvais.
Sandy Spicer conseille aux femmes propriétaires de véhicules de se renseigner sur leur garage avant qu'un problème mécanique important survienne. « Et faites confiance à votre instinct. Si vous vous sentez à l'aise de visiter tel ou tel endroit pour une réparation mineure, vous n'aurez généralement pas à craindre une réparation majeure », dit-elle.
Comme dans toute relation, le succès dépend de l'effort des différentes parties. Partout où vous allez, même chez les garages qui vous inspirent le plus confiance, vous pouvez faciliter la communication, par exemple en demandant une estimation des coûts avant que le travail débute et en exigeant de connaître à l'avance tout dépassement possible afin d'éviter les mauvaises surprises. S'il s'agit d'un problème intermittent, le technicien aimera savoir à quels moments, à quelle vitesse et dans quelles conditions routières il se produit habituellement.
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Vous pouvez en apprendre davantage sur votre véhicule simplement en posant des questions, en insistant pour voir les pièces à remplacer et en jetant un coup d'oeil sous le capot une fois le travail terminé. Après plusieurs années, ces occasions d'apprentissage rehausseront votre expertise et votre confiance en tout ce qui a trait à la mécanique automobile.
Quand Nic's Garage a ouvert ses portes, 80 % de la clientèle étaient des femmes. Sandy Spicer parle aujourd'hui d'un ratio de 50-50. Elle croit que les hommes veulent aussi se sentir à l'aise de poser des questions. Après tout, les véhicules deviennent de plus en plus complexes et sophistiqués, ce qui fait que moins d'entre eux savent réparer le leur.
Nous voulons toutes trouver un médecin, un dentiste ou une coiffeuse qui nous inspire confiance et nous rassure. Il en va de même pour un mécanicien. Le but consiste à développer une solide relation qui, avec un peu de chance, durera très longtemps.