«Un plan de soins de santé compétitif à la grandeur de notre organisation pour les employés salariés et contractuels pourrait nous faire épargner
littéralement des milliards de dollars», affirme Gary Cowger, le PDG de General Motors. Les coûts des soins de santé, ajoute Lutz, «pèsent énormément sur l'industrie américaine d'aujourd'hui.»
Le constructeur fait également face à une dette colossale de 300 milliards $. Il pourrait vendre des intérêts dans sa division GMAC Commercial Mortgage, à présent que des investisseurs potentiels frappent à la porte, mais comme il s'agit d'une filiale hautement profitable qui est venue supporter les faibles profits de GM, nul doute que la pilule serait difficile à avaler.
Mais rien n'est encore perdu. Dans son adresse aux participants de la conférence de New York, Lutz s'est montré optimiste quant à certains
nouveaux produits et au redressement éventuel de la compagnie.
«Bien sûr, nous faisons face à des défis à court terme; pour cette raison, ce ne sera pas une année record», a-t-il dit. «Nous vivons une difficile période d'ajustement, mais nous passerons au travers.»
Lutz a parlé de la nouvelle compacte Chevrolet Cobalt et de l'intermédiaire Pontiac G6 comme étant de gros vendeurs, se permettant même de citer un journaliste automobile qui avait écrit dans sa critique de la Cobalt que «le Titanic a encore le temps de changer sa course pour éviter l'iceberg.»
En bout de ligne, GM se remettra de ses mauvais pas. Il faudra quand même que son plan de recentrage fonctionne, à défaut de quoi une de ses marques s'éteindra. Buick écopera sans doute, ne serait-ce que pour les mêmes raisons qu'Oldsmobile, mais ce ne sera pas avant un certain temps, puisque sa clientèle -- vieille mais aussi nombreuse et fortunée -- a encore besoin de se procurer des voitures neuves.
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| En guise de pression supplémentaire, le constructeur fait également face à une dette colossale de 300 milliards $. (Photo: Shawn Pisio, Canadian Auto Press) |
Le constructeur fait également face à une dette colossale de 300 milliards $. Il pourrait vendre des intérêts dans sa division GMAC Commercial Mortgage, à présent que des investisseurs potentiels frappent à la porte, mais comme il s'agit d'une filiale hautement profitable qui est venue supporter les faibles profits de GM, nul doute que la pilule serait difficile à avaler.
Mais rien n'est encore perdu. Dans son adresse aux participants de la conférence de New York, Lutz s'est montré optimiste quant à certains
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| Lutz a parlé de la nouvelle compacte Chevrolet Cobalt et de l'intermédiaire Pontiac G6 comme étant de gros vendeurs. (Photo: General Motors of Canada) |
«Bien sûr, nous faisons face à des défis à court terme; pour cette raison, ce ne sera pas une année record», a-t-il dit. «Nous vivons une difficile période d'ajustement, mais nous passerons au travers.»
Lutz a parlé de la nouvelle compacte Chevrolet Cobalt et de l'intermédiaire Pontiac G6 comme étant de gros vendeurs, se permettant même de citer un journaliste automobile qui avait écrit dans sa critique de la Cobalt que «le Titanic a encore le temps de changer sa course pour éviter l'iceberg.»
En bout de ligne, GM se remettra de ses mauvais pas. Il faudra quand même que son plan de recentrage fonctionne, à défaut de quoi une de ses marques s'éteindra. Buick écopera sans doute, ne serait-ce que pour les mêmes raisons qu'Oldsmobile, mais ce ne sera pas avant un certain temps, puisque sa clientèle -- vieille mais aussi nombreuse et fortunée -- a encore besoin de se procurer des voitures neuves.







