Element de reprise
Sous le capot, on retrouve le même 4-cylindres de 2,4 litres et 166 chevaux des autres versions. Ce moteur procure des accélérations humbles (0-100 km/h sous la barre des 10 secondes) et des reprises qui conviennent à une vocation... familiale ou touristique, c’est selon. Ce moteur consomme cependant 11 litres aux 100 kilomètres en conduite hivernale, ce qui n’a rien de frugal.
La boîte de vitesses automatique à 5 rapports se distingue par la protubérance du tableau de bord où loge son levier de commande. Elle n’a pas de mode séquentiel manuel, mais un commutateur permet de rétrograder d’un rapport lorsqu’on est en cinquième. Fait à noter, Honda n’offre pas de boîte manuelle pour ce véhicule.
L’Element SC utilise le même système de freins à disque aux quatre roues, qui est doublé d’un antiblocage pas trop intrusif.
Pratique... pas pratique...
La carrosserie atypique de l’Element a des portes à ouverture antagoniste, un concept plus attrayant en principe qu’en réalité. Faire embarquer ou descendre en même temps des passagers qui prennent place devant et derrière s’avère compliqué, surtout lorsqu’on est garé le long d’un mur ou près d’un autre véhicule. L’ouverture simultanée des deux portières d’un même côté enferme les personnes dans un réduit duquel on a peine à sortir.
En revanche, le combiné hayon/battant se révèle pratique à plus d’un point de vue. D’abord, il nécessite moins de dégagement derrière le véhicule pour être ouvert. Ensuite, le battant s’ouvre au niveau du plancher, ce qui facilite le chargement d’objets lourds. Ce battant peut aussi servir de tablette et même de banquette. Enfin, on peut aussi se servir du hayon seul, pour se protéger du soleil ou des intempéries par exemple!
À l’intérieur, on retrouve des sièges baquets particulièrement amples. Derrière, la banquette a deux sections symétriques qui se transforment en lit, avec les sièges avant. Elles peuvent aussi être relevées latéralement, contre les cloisons intérieures, pour dégager une grande surface de chargement. Mais dans le cas du SC, le côté ludique de l’Element a peut-être été évacué dès le départ dans l’esprit de l’acheteur, au profit de l’image que doit procurer ce petit cube sur quatre roues.
Sinon, il suffirait à l’acheteur de débourser un maigre 400 $ de plus pour pouvoir s’offrir l’Element EX, avec ses quatre roues motrices et sans tapis sur le plancher! Mais ça, c’est un Element élémentaire, pas un Element à la mode...
Sous le capot, on retrouve le même 4-cylindres de 2,4 litres et 166 chevaux des autres versions. Ce moteur procure des accélérations humbles (0-100 km/h sous la barre des 10 secondes) et des reprises qui conviennent à une vocation... familiale ou touristique, c’est selon. Ce moteur consomme cependant 11 litres aux 100 kilomètres en conduite hivernale, ce qui n’a rien de frugal.
La boîte de vitesses automatique à 5 rapports se distingue par la protubérance du tableau de bord où loge son levier de commande. Elle n’a pas de mode séquentiel manuel, mais un commutateur permet de rétrograder d’un rapport lorsqu’on est en cinquième. Fait à noter, Honda n’offre pas de boîte manuelle pour ce véhicule.
L’Element SC utilise le même système de freins à disque aux quatre roues, qui est doublé d’un antiblocage pas trop intrusif.
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| Derrière, la banquette a deux sections symétriques qui se transforment en lit, avec les sièges avant. (Photo: Philippe Champoux et Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Pratique... pas pratique...
La carrosserie atypique de l’Element a des portes à ouverture antagoniste, un concept plus attrayant en principe qu’en réalité. Faire embarquer ou descendre en même temps des passagers qui prennent place devant et derrière s’avère compliqué, surtout lorsqu’on est garé le long d’un mur ou près d’un autre véhicule. L’ouverture simultanée des deux portières d’un même côté enferme les personnes dans un réduit duquel on a peine à sortir.
En revanche, le combiné hayon/battant se révèle pratique à plus d’un point de vue. D’abord, il nécessite moins de dégagement derrière le véhicule pour être ouvert. Ensuite, le battant s’ouvre au niveau du plancher, ce qui facilite le chargement d’objets lourds. Ce battant peut aussi servir de tablette et même de banquette. Enfin, on peut aussi se servir du hayon seul, pour se protéger du soleil ou des intempéries par exemple!
À l’intérieur, on retrouve des sièges baquets particulièrement amples. Derrière, la banquette a deux sections symétriques qui se transforment en lit, avec les sièges avant. Elles peuvent aussi être relevées latéralement, contre les cloisons intérieures, pour dégager une grande surface de chargement. Mais dans le cas du SC, le côté ludique de l’Element a peut-être été évacué dès le départ dans l’esprit de l’acheteur, au profit de l’image que doit procurer ce petit cube sur quatre roues.
Sinon, il suffirait à l’acheteur de débourser un maigre 400 $ de plus pour pouvoir s’offrir l’Element EX, avec ses quatre roues motrices et sans tapis sur le plancher! Mais ça, c’est un Element élémentaire, pas un Element à la mode...
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