Les cadrans à rétro-illumination du SC troquent aussi la lumière d’un bleu-mauve qu’on observe dans les deux autres modèles pour une teinte cuivrée, chaude. De plus, le module triangulaire qui réunit les trois cadrans adopte une garniture d’un noir profond (Honda l’appelle « noir piano »). Ça fait plus chic. Tout comme le tapis qui recouvre le plancher au niveau des deux rangées de sièges. Les versions LX et EX, elles, destinées aux loisirs extrêmes, ont un plancher à revêtement plastique enduit d’uréthane qui est robuste et lavable à la serpillière!
Cela n’empêche pas la version SC de partager la chaîne audio du haut de gamme EX : un système compatible avec les fichiers MP3 et WMA doté d’un amplificateur de 270 watts et de sept haut-parleurs incluant un caisson de graves. Faut que ça s’entende lorsqu’on conduit un Element. Yo!
Comme un « Low-rider »!
À tout « tuner », tout honneur! La position de conduite a été abaissée, tout comme la garde au sol. Avec la ligne de caisse naturellement haute, l’Element SC devient l’antithèse d’un CR-V : oubliez la position de conduite surélevée et la surface vitrée généreuse, qui assure une visibilité satisfaisante. La mode reprend le dessus dans la sécurité que procure un champ de vision vaste et franc d’obstacles. Dommage...
Cet attachement à une mode extrême à sa façon explique que le fabricant ait muni le SC d’une suspension indépendante aux réglages spécifiques qui la rend ferme, très ferme. Sur une autoroute, ça passe, mais sur une petite route régionale cahoteuse, ça casse – du moins, on le croirait. Le fabricant qualifie cela de caractère sportif. Moi, j’appelle ça un inconfort élémentaire!
Bien entendu, les grosses galoches de caoutchouc, qui chaussent les roues surdimensionnées, contribuent à réduire le confort de roulement. Mais, pensez-y un instant : lorsque l’hiver reviendra et qu’il faudra chausser le SC de pneus d’hiver, la facture sera assurément plus élevée qu’elle ne le sera pour les deux autres modèles, chaussés de pneus de 16 pouces eux. Qui plus est, ces grosses galoches augmentent le rayon de braquage du SC par rapport aux deux autres Element : 11,3 mètres contre 10,6. Pas très pratique dans les stationnements...
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| L’Element SC partage la chaîne audio à neuf haut-parleurs et amplificateur de 270 watts du modèle EX.(Photo: Philippe Champoux et Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Cela n’empêche pas la version SC de partager la chaîne audio du haut de gamme EX : un système compatible avec les fichiers MP3 et WMA doté d’un amplificateur de 270 watts et de sept haut-parleurs incluant un caisson de graves. Faut que ça s’entende lorsqu’on conduit un Element. Yo!
Comme un « Low-rider »!
À tout « tuner », tout honneur! La position de conduite a été abaissée, tout comme la garde au sol. Avec la ligne de caisse naturellement haute, l’Element SC devient l’antithèse d’un CR-V : oubliez la position de conduite surélevée et la surface vitrée généreuse, qui assure une visibilité satisfaisante. La mode reprend le dessus dans la sécurité que procure un champ de vision vaste et franc d’obstacles. Dommage...
Cet attachement à une mode extrême à sa façon explique que le fabricant ait muni le SC d’une suspension indépendante aux réglages spécifiques qui la rend ferme, très ferme. Sur une autoroute, ça passe, mais sur une petite route régionale cahoteuse, ça casse – du moins, on le croirait. Le fabricant qualifie cela de caractère sportif. Moi, j’appelle ça un inconfort élémentaire!
Bien entendu, les grosses galoches de caoutchouc, qui chaussent les roues surdimensionnées, contribuent à réduire le confort de roulement. Mais, pensez-y un instant : lorsque l’hiver reviendra et qu’il faudra chausser le SC de pneus d’hiver, la facture sera assurément plus élevée qu’elle ne le sera pour les deux autres modèles, chaussés de pneus de 16 pouces eux. Qui plus est, ces grosses galoches augmentent le rayon de braquage du SC par rapport aux deux autres Element : 11,3 mètres contre 10,6. Pas très pratique dans les stationnements...
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| Le moteur de 2,4 litres offre des performances honnêtes, mais il est plutôt gourmand. (Photo: Philippe Champoux et Matthieu Lambert/Auto123.com) |