Heureusement, Infiniti a trouvé une très bonne solution à deux des plus importants compromis des voitures décapotables.
D’abord, la visibilité lorsque le toit est fermé. Les vitres s’étendent loin à l’arrière, offrant une vue de votre environnement supérieure à la moyenne et réduisant au maximum votre frustration quand vient le temps de changer de voie.
Ensuite, pour un coupé sans toit, la structure du G37 est admirablement rigide. Devant lui, même des rivaux convenablement rigides comme les Volvo C70 et Mitsubishi Eclipse s’apparentent à des gâteaux éponges sur roues. La flexion du châssis reste négligeable, et il n’émet aucun des crissements et cliquetis mineurs et pardonnables qui y sont associés.
Laissez vos bagages à la maison
Cependant, le G37 cabriolet ne s’en tire pas aussi bien en matière d’espace, et le dégagement pour la tête se révèle particulièrement décevant. Même les conducteurs de taille moyenne devront fortement canter leur siège pour éviter d’effleurer le plafond.
Le coffre est de taille moyenne lorsque le toit reste en place, mais l’espace de chargement frise le ridicule lorsqu’il est abaissé. Les espaces de rangement dans l’habitacle accordent peu de place aussi. Bref, on ne peut dire qu’on a affaire à une routière décapotable pour quatre, que si chaque passager transporte son équipement dans ses poches.
L’enivrant murmure de six cylindres
Le G37 se rachète lorsqu’on réveille son moteur. Le V6 à quatre arbres à cames fait appel, entre autres, à un système d’alimentation double et un échappement soigneusement travaillé pour libérer 325 chevaux. Et ce sont les meilleurs des chevaux : suaves, enthousiastes et sublimes à entendre.
Le moteur de série VQ émet un hurlement perçant à bas régime et un puissant rugissement à haut régime et offre un rendement linéaire et musclé d’un bout de la plage à l’autre. En route, il oublie simplement le poids de la machine et s’affirme avec autorité.
Certains conducteurs souhaiteront l’entendre davantage dans l’habitacle, ce que l’on fait lorsqu’on abaisse le toit. Enfin, la voix du G37 atteint son plus mélodieux pour ceux qui se tiennent derrière.
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| Le toit monté, les lignes du G37 cabrio s’affichent nettes et cohérentes. |
D’abord, la visibilité lorsque le toit est fermé. Les vitres s’étendent loin à l’arrière, offrant une vue de votre environnement supérieure à la moyenne et réduisant au maximum votre frustration quand vient le temps de changer de voie.
Ensuite, pour un coupé sans toit, la structure du G37 est admirablement rigide. Devant lui, même des rivaux convenablement rigides comme les Volvo C70 et Mitsubishi Eclipse s’apparentent à des gâteaux éponges sur roues. La flexion du châssis reste négligeable, et il n’émet aucun des crissements et cliquetis mineurs et pardonnables qui y sont associés.
Laissez vos bagages à la maison
Cependant, le G37 cabriolet ne s’en tire pas aussi bien en matière d’espace, et le dégagement pour la tête se révèle particulièrement décevant. Même les conducteurs de taille moyenne devront fortement canter leur siège pour éviter d’effleurer le plafond.
Le coffre est de taille moyenne lorsque le toit reste en place, mais l’espace de chargement frise le ridicule lorsqu’il est abaissé. Les espaces de rangement dans l’habitacle accordent peu de place aussi. Bref, on ne peut dire qu’on a affaire à une routière décapotable pour quatre, que si chaque passager transporte son équipement dans ses poches.
L’enivrant murmure de six cylindres
Le G37 se rachète lorsqu’on réveille son moteur. Le V6 à quatre arbres à cames fait appel, entre autres, à un système d’alimentation double et un échappement soigneusement travaillé pour libérer 325 chevaux. Et ce sont les meilleurs des chevaux : suaves, enthousiastes et sublimes à entendre.
Le moteur de série VQ émet un hurlement perçant à bas régime et un puissant rugissement à haut régime et offre un rendement linéaire et musclé d’un bout de la plage à l’autre. En route, il oublie simplement le poids de la machine et s’affirme avec autorité.
Certains conducteurs souhaiteront l’entendre davantage dans l’habitacle, ce que l’on fait lorsqu’on abaisse le toit. Enfin, la voix du G37 atteint son plus mélodieux pour ceux qui se tiennent derrière.
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| Le G37 se rachète lorsqu’on réveille son moteur. |