Sept rapports, quatre roues motrices
Mon modèle d'essai à traction intégrale était chaussé de pneus toute saison, mais des semelles d'hiver sont fortement recommandées si l'on souhaite maximiser l'adhérence et la stabilité. Le système privilégie nettement les roues arrière, ce qui se traduit parfois par un décrochage de la queue en première et en deuxième vitesse sur chaussée mouillée.
Quand la neige se met de la partie, on croirait que le témoin lumineux du système antipatinage nous envoie un signal en code morse, même si l'on conduit modérément. Malgré toute cette fringance du train arrière, la G37x m'a paru plus énergique et plus engageante que certaines concurrentes dont la traction intégrale donne un effet plutôt neutre.
La boîte à sept rapports fonctionne en douceur quand le levier est en «D», mais elle devient un peu maladroite si l'on surprend l'ordinateur. En se servant des palettes de commande métalliques au volant, les passages sont rapides à souhait; les montées nous poussent vers l'avant et les rétrogradations avec impulsions assurent la correspondance du régime. Oui, cette transmission demeure une automatique dans l'âme, mais elle est quand même très amusante au jeu.
Le sundae et la cerise
La tenue de route est bien assortie à la remarquable cavalerie de 328 chevaux. La direction est rapide, précise et très communicative, faisant tourner la G37x sans la moindre hésitation et avec un roulis de caisse minime. La voiture se montre bien excitante quand la route devient sinueuse et splendidement agile sur un circuit.
Normalement, des machines qui tiennent aussi bien la route ont tendance à faire souffrir leurs occupants. Ici, toutefois, le roulement s'avère solide, confortable et bien amorti. Jamais il ne devient éprouvant ou douloureux. Même les plus grosses bosses ne réussissent pas à provoquer des réactions aléatoires de la suspension.
À n'en pas douter : vous serez impressionné par la qualité du roulement de l'Infiniti G37x compte tenu de son extrême maniabilité.
Mon modèle d'essai à traction intégrale était chaussé de pneus toute saison, mais des semelles d'hiver sont fortement recommandées si l'on souhaite maximiser l'adhérence et la stabilité. Le système privilégie nettement les roues arrière, ce qui se traduit parfois par un décrochage de la queue en première et en deuxième vitesse sur chaussée mouillée.
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| Même les plus grosses bosses ne réussissent pas à provoquer des réactions aléatoires de la suspension. |
Quand la neige se met de la partie, on croirait que le témoin lumineux du système antipatinage nous envoie un signal en code morse, même si l'on conduit modérément. Malgré toute cette fringance du train arrière, la G37x m'a paru plus énergique et plus engageante que certaines concurrentes dont la traction intégrale donne un effet plutôt neutre.
La boîte à sept rapports fonctionne en douceur quand le levier est en «D», mais elle devient un peu maladroite si l'on surprend l'ordinateur. En se servant des palettes de commande métalliques au volant, les passages sont rapides à souhait; les montées nous poussent vers l'avant et les rétrogradations avec impulsions assurent la correspondance du régime. Oui, cette transmission demeure une automatique dans l'âme, mais elle est quand même très amusante au jeu.
Le sundae et la cerise
La tenue de route est bien assortie à la remarquable cavalerie de 328 chevaux. La direction est rapide, précise et très communicative, faisant tourner la G37x sans la moindre hésitation et avec un roulis de caisse minime. La voiture se montre bien excitante quand la route devient sinueuse et splendidement agile sur un circuit.
Normalement, des machines qui tiennent aussi bien la route ont tendance à faire souffrir leurs occupants. Ici, toutefois, le roulement s'avère solide, confortable et bien amorti. Jamais il ne devient éprouvant ou douloureux. Même les plus grosses bosses ne réussissent pas à provoquer des réactions aléatoires de la suspension.
À n'en pas douter : vous serez impressionné par la qualité du roulement de l'Infiniti G37x compte tenu de son extrême maniabilité.
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| L'intérieur de la G37x paraît très dynamique et très dernier cri, conformément aux aspirations de la voiture. |