Des... chevaux à revendre!
Au-delà de cette silhouette renouvelée, le nouveau QX bénéficie d’un nouveau moteur V8 plus performant. Une autre métaphore qui sied bien au Kentucky : plus de chevaux sous le capot!
De même cylindrée que le moteur qu’il remplace, ce V8 bénéficie désormais d’une injection direction et d’un système de calage variable des soupapes. Il livre 80 chevaux de plus que son prédécesseur pour un total de 400. Désormais lié à une boîte automatique à 7 rapports, plutôt que 5 comme l’ancienne, on le dit moins gourmand en carburant. Le fabricant lui attribue une consommation moyenne de 13,2 litres aux 100 kilomètres, mais durant notre galop (!) d’essais, nous n’avons pu faire mieux que 14,7 litres aux 100 kilomètres.
Il y a fort à parier que cette cote soit très secondaire pour l’acheteur typique de ce genre de mastodonte. La souplesse de fonctionnement du groupe motopropulseur, ses accélérations et reprises soutenues, de même que l’agrément de conduite qu’il procure auront sans doute plus d’importance.
J’ose même imaginer que bien peu de conducteurs de QX remarqueront que la boîte de vitesses dispose d’un mode manuel. Une pensée sans doute partagée par les stratèges de la marque, ce qui expliquerait la cruelle absence de palettes montées derrière le volant pour ce mode manuel, un incontournable pour un véhicule de haut de gamme!
Par contre, la capacité de remorquage, qui atteint 3856 kilos (8500 livres), importera sans doute également beaucoup pour ces acheteurs... et pour les hommes de chevaux!
Doux comme un tapis volant!
Le QX dispose d’une suspension indépendante aux quatre roues avec barres stabilisatrices et système pneumatique d’ajustement automatique de la hauteur du train arrière.
L’ensemble optionnel Technologie (offert à 8 000 $) procure à l’acheteur, par ailleurs, un système de contrôle de mouvement de la carrosserie appelé « Hydraulic Body Motion Control ». À l’aide de cylindres hydrauliques reliés aux amortisseurs, ce système module la rigidité de la suspension et réduit le roulis de la carrosserie de façon étonnante. Il atténue aussi l’impact des cahots et, du coup, accroît le confort des passagers. Cela fonctionne si bien, qu’on en vient parfois à oublier que l’on est au volant d’un mastodonte de deux tonnes!
Au-delà de cette silhouette renouvelée, le nouveau QX bénéficie d’un nouveau moteur V8 plus performant. Une autre métaphore qui sied bien au Kentucky : plus de chevaux sous le capot!
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| QX… pourquoi? L’appellation peut paraître étrange pour certains. On la croirait même destinée aux linguistes! Mais rappelons que l’usage de la lettre Q dans le petit vocabulaire d’Infiniti n’est pas nouveau et remonte au premier porte-étendard de la marque : la Q45 de 1989. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |
De même cylindrée que le moteur qu’il remplace, ce V8 bénéficie désormais d’une injection direction et d’un système de calage variable des soupapes. Il livre 80 chevaux de plus que son prédécesseur pour un total de 400. Désormais lié à une boîte automatique à 7 rapports, plutôt que 5 comme l’ancienne, on le dit moins gourmand en carburant. Le fabricant lui attribue une consommation moyenne de 13,2 litres aux 100 kilomètres, mais durant notre galop (!) d’essais, nous n’avons pu faire mieux que 14,7 litres aux 100 kilomètres.
Il y a fort à parier que cette cote soit très secondaire pour l’acheteur typique de ce genre de mastodonte. La souplesse de fonctionnement du groupe motopropulseur, ses accélérations et reprises soutenues, de même que l’agrément de conduite qu’il procure auront sans doute plus d’importance.
J’ose même imaginer que bien peu de conducteurs de QX remarqueront que la boîte de vitesses dispose d’un mode manuel. Une pensée sans doute partagée par les stratèges de la marque, ce qui expliquerait la cruelle absence de palettes montées derrière le volant pour ce mode manuel, un incontournable pour un véhicule de haut de gamme!
Par contre, la capacité de remorquage, qui atteint 3856 kilos (8500 livres), importera sans doute également beaucoup pour ces acheteurs... et pour les hommes de chevaux!
Doux comme un tapis volant!
Le QX dispose d’une suspension indépendante aux quatre roues avec barres stabilisatrices et système pneumatique d’ajustement automatique de la hauteur du train arrière.
L’ensemble optionnel Technologie (offert à 8 000 $) procure à l’acheteur, par ailleurs, un système de contrôle de mouvement de la carrosserie appelé « Hydraulic Body Motion Control ». À l’aide de cylindres hydrauliques reliés aux amortisseurs, ce système module la rigidité de la suspension et réduit le roulis de la carrosserie de façon étonnante. Il atténue aussi l’impact des cahots et, du coup, accroît le confort des passagers. Cela fonctionne si bien, qu’on en vient parfois à oublier que l’on est au volant d’un mastodonte de deux tonnes!
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| Des roues en alliage de 20 pouces sont livrées en équipement de série. Sur demande, on peut aussi obtenir des roues de 22 pouces. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |