Montréal, Québec – Le 9 juillet dernier à Londres, Jaguar Cars levait le voile sur sa nouvelle berline de prestige, la XJ 2010, à l’occasion d’un événement à grand déploiement. Cinq mois plus tard, les concessionnaires du Canada ont présenté à leur tour ce nouveau porte-étendard de la marque à leurs clients privilégiés dans le cadre de galas organisés à Montréal, Toronto et Vancouver.
« C’est un coup de circuit! Et je l’affirme en toute humilité. », nous a dit Gary S. Moyer, président de Jaguar Land Rover Canada (JLRC). « Comme la XF, la nouvelle XJ va devenir une icône de la marque. Elle va naturellement attirer beaucoup d’acheteurs chez nos concessionnaires. »
La Jaguar XJ vise les acheteurs des berlines de prestige, un créneau desservi principalement par un trio allemand composé, dans l’ordre d’importance des ventes, de la Mercedes-Benz classe S, la BMW série 7 et l’Audi A8. À cela s’ajoutent, selon M. Moyer, la Maserati Quattroporte et la nouvelle Porsche Panamera.
Ce dernier envisage, d’ailleurs, à ce que l’arrivée de la nouvelle XJ engendre une forte « migration » de propriétaires de ces voitures rivales vers sa marque. Son directeur de la marque, Steven Majewski, le confirme : « Ces acheteurs recherchent des automobiles différentes et distinctives, et la XJ 2010 offre justement un très haut niveau d’exclusivité. » M. Majewski n’hésite pas, d’ailleurs, à chiffrer la proportion de ces « conquêtes » à environ 70% du volume de ventes anticipé.
Table rase pour le design!
D’ailleurs, en matière de design, la nouvelle XJ fait table rase. L’esthétique de la XJ 2009, inspirée du modèle initial lancé en 1968, a été reléguée aux livres d’histoire.
Lors du dévoilement londonien, le directeur du Design de Jaguar Cars, Ian Callum, le signifiait clairement : « La nouvelle XJ est une interprétation résolument moderne de la Jaguar d’aujourd’hui. Elle se démarque par la forme étirée de ses vitres latérales, son allure puissante et ses voies larges. Elle est l’expression la plus aboutie à ce jour de la nouvelle orientation du design de Jaguar ».
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| Le 4 novembre 2009, les concessionnaires Jaguar du grand Montréal invitaient leurs clients au dévoilement de la nouvelle XJ. Des événements similaires avaient eu lieu peu de temps auparavant à Toronto et à Vancouver. |
« C’est un coup de circuit! Et je l’affirme en toute humilité. », nous a dit Gary S. Moyer, président de Jaguar Land Rover Canada (JLRC). « Comme la XF, la nouvelle XJ va devenir une icône de la marque. Elle va naturellement attirer beaucoup d’acheteurs chez nos concessionnaires. »
La Jaguar XJ vise les acheteurs des berlines de prestige, un créneau desservi principalement par un trio allemand composé, dans l’ordre d’importance des ventes, de la Mercedes-Benz classe S, la BMW série 7 et l’Audi A8. À cela s’ajoutent, selon M. Moyer, la Maserati Quattroporte et la nouvelle Porsche Panamera.
Ce dernier envisage, d’ailleurs, à ce que l’arrivée de la nouvelle XJ engendre une forte « migration » de propriétaires de ces voitures rivales vers sa marque. Son directeur de la marque, Steven Majewski, le confirme : « Ces acheteurs recherchent des automobiles différentes et distinctives, et la XJ 2010 offre justement un très haut niveau d’exclusivité. » M. Majewski n’hésite pas, d’ailleurs, à chiffrer la proportion de ces « conquêtes » à environ 70% du volume de ventes anticipé.
Table rase pour le design!
D’ailleurs, en matière de design, la nouvelle XJ fait table rase. L’esthétique de la XJ 2009, inspirée du modèle initial lancé en 1968, a été reléguée aux livres d’histoire.
Lors du dévoilement londonien, le directeur du Design de Jaguar Cars, Ian Callum, le signifiait clairement : « La nouvelle XJ est une interprétation résolument moderne de la Jaguar d’aujourd’hui. Elle se démarque par la forme étirée de ses vitres latérales, son allure puissante et ses voies larges. Elle est l’expression la plus aboutie à ce jour de la nouvelle orientation du design de Jaguar ».
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| La nouvelle Jaguar XJ est « un coup de circuit », affirme Gary S. Moyer, président de Jaguar Land Rover Canada. |