Deux tractions
Mais la vraie différence entre LX et EX réside plutôt dans le système 4 x 4 mis de l'avant. En version de base, il est totalement manuel, et le conducteur doit lui-même se charger d'activer les roues motrices.
En version de luxe, outre les rapports de bas et de haut de gamme (4L et 4H), on retrouve aussi un mode automatique qui permet au véhicule de gérer lui-même le transfert de puissance aux roues. Mais dans tous les cas, ce transfert n'excédera jamais une division égale du couple entre roues arrière et avant.
Mis à l'épreuve dans un peu de boue et sur quelques rochers, le Borrego s'est fort bien tiré d'affaire, affrontant les étapes sans jamais rechigner.
Il faut dire que la rigidité du châssis, un châssis à échelle comme un vrai camion plutôt que monocoque, assure une plus grande stabilité et une résistance plus forte. Il s'agit donc d'un outil de travail plus efficace encore qu'un simple utilitaire sport.
Sur la route
Difficile de ne pas ressentir, sur la route, les suspensions très rigides du Borrego. Conçues pour tracter et travailler fort, les suspensions à quatre roues indépendantes sont calibrées en ce sens et laissent passer beaucoup des aspérités de la route. Qu'à cela ne tienne, on se sent vraiment dans un camion.
Le moteur V6 se montre fort souple et agréable, alors que le V8, puissant, ne fournit pas autant d'avantages qu'on pourrait le croire. La direction à assistance variable répond bien et permet un rayon de braquage d'à peine 5,5 mètres, une exception dans la classe.
Le Kia Borrego mise donc sur plusieurs avantages : capacité de remorquage, consommation de carburant et prix abordable puisqu'il varie entre 36 995 et 43 595 $. Et ce premier contact a permis de constater qu'il était aussi à la hauteur de ses prétentions. Reste maintenant à voir si le coût du carburant aura raison de ce nouvel effort de Kia pour jouer dans la cour des grands.
photo:Marc Bouchard
Mais la vraie différence entre LX et EX réside plutôt dans le système 4 x 4 mis de l'avant. En version de base, il est totalement manuel, et le conducteur doit lui-même se charger d'activer les roues motrices.
En version de luxe, outre les rapports de bas et de haut de gamme (4L et 4H), on retrouve aussi un mode automatique qui permet au véhicule de gérer lui-même le transfert de puissance aux roues. Mais dans tous les cas, ce transfert n'excédera jamais une division égale du couple entre roues arrière et avant.
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| Le mode automatique permet au véhicule de gérer lui-même le transfert de puissance aux roues. |
Mis à l'épreuve dans un peu de boue et sur quelques rochers, le Borrego s'est fort bien tiré d'affaire, affrontant les étapes sans jamais rechigner.
Il faut dire que la rigidité du châssis, un châssis à échelle comme un vrai camion plutôt que monocoque, assure une plus grande stabilité et une résistance plus forte. Il s'agit donc d'un outil de travail plus efficace encore qu'un simple utilitaire sport.
Sur la route
Difficile de ne pas ressentir, sur la route, les suspensions très rigides du Borrego. Conçues pour tracter et travailler fort, les suspensions à quatre roues indépendantes sont calibrées en ce sens et laissent passer beaucoup des aspérités de la route. Qu'à cela ne tienne, on se sent vraiment dans un camion.
Le moteur V6 se montre fort souple et agréable, alors que le V8, puissant, ne fournit pas autant d'avantages qu'on pourrait le croire. La direction à assistance variable répond bien et permet un rayon de braquage d'à peine 5,5 mètres, une exception dans la classe.
Le Kia Borrego mise donc sur plusieurs avantages : capacité de remorquage, consommation de carburant et prix abordable puisqu'il varie entre 36 995 et 43 595 $. Et ce premier contact a permis de constater qu'il était aussi à la hauteur de ses prétentions. Reste maintenant à voir si le coût du carburant aura raison de ce nouvel effort de Kia pour jouer dans la cour des grands.
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| Le Borrego est doté de capacités hors route tout à fait remarquables. |
photo:Marc Bouchard
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