Maintenant beaucoup plus qu'un simple moyen d'aller du point A au point B
Quand la Rio fut introduite sur le marché, au sein de l'année-modèle
2001, Kia s'était vanté de produire la voiture la moins chère au Canada. Et maintenant, la Rio 2006, qui vient juste de faire son entrée à la grandeur du pays, est tellement bonne qu'elle n'a pas besoin d'être commercialisée sur la seule base de son prix. En fait, après avoir passé trois jours à conduire la berline à quatre portes et le modèle à cinq portes à hayon, sous différents niveaux d'équipement, de la ville de Québec à Charlevoix, au Québec, site du magnifique hôtel Fairmount Le Manoir Richelieu, l'un des plus prestigieux de la chaîne d'hôtels du CP, et une destination en soi, le tout à travers une pluie torrentielle lors de la première soirée, tant et si bien que la police avait fermé certaines sections de route inondées, et le ciel bleu du lendemain sous lequel nous avons remonté le long du Saint-Laurent sur environ 400 km avant de revenir, je crois que le prix de la voiture, et de toute la gamme, est sous-estimé d'au moins un millier de dollars.
Pourquoi? D'abord et avant tout, il s'agit d'une voiture de haute qualité. Je l'ai remarqué en jetant un coup d'oeil à ses panneaux extérieurs, qui sont assemblés avec une précision normalement associée à des marques
prestigieuses, et aux meilleures marques d'entrée de gamme provenant du Japon. Tous les espaces entre les panneaux sont étroits et parfaitement alignés, chose que je ne suis pas prêt à affirmer pour tous les manufacturiers, peu importe le prix payé. La peinture est également de haute qualité, à tout le moins sur la dizaine de voitures disponible pour les journalistes durant l'événement.
La même attention aux petits détails était visible à l'intérieur de la Rio, les plastiques de toutes les surfaces étant de qualité supérieure à ce que l'on retrouve habituellement dans cette catégorie, les commandes semblant avoir été prises dans des modèles plus dispendieux, des recouvrements de tissu robustes mais attrayants un peu partout, et la même impression de qualité de finition que j'ai remarqué à l'extérieur, mettant la touche finale à un habitacle attrayant et joliment bien aménagé.
En fait, la voiture en entier paraît bien, peu importe l'angle sous laquelle on la regarde. J'ai bien quelques aspects favoris, remarquez bien, comme
la façon dont s'inclinent les flancs sculptés des trois-quarts arrière du modèle à cinq portes, et particulièrement la façon dont les feux arrière enveloppent et surmontent les pointes arrière des ailes, leur lentilles de clignotant de ton blanc fumé remontant et s'intégrant harmonieusement à la ceinture de carrosserie. Il s'agit là d'un superbe détail de design qui est rarement aussi bien exécuté.
Bien sûr, j'aime aussi ce que tout le reste de la voiture a l'air, et c'est aussi vrai pour la berline à quatre portes. Son masque avant stylisé, tout comme son profil, apparaissent plus grands qu'ils ne le sont en réalité. Évidemment, la voiture a pris des dimensions plus imposantes que la Rio originale, qui a aidé à lancer la marque Kia à travers le Canada en 1999, mais c'est plus que seulement cela. Elle n'a pas seulement grandi en dimensions, mais également en maturité. Oui, cette petite voiture a bien évolué.
Quand la Rio fut introduite sur le marché, au sein de l'année-modèle
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| Après avoir passé trois jours à conduire la berline à quatre portes et le modèle à cinq portes à hayon, sous différents niveaux d'équipement, je crois que le prix de la voiture, et de toute la gamme, est sous-estimé d'au moins un millier de dollars. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
Pourquoi? D'abord et avant tout, il s'agit d'une voiture de haute qualité. Je l'ai remarqué en jetant un coup d'oeil à ses panneaux extérieurs, qui sont assemblés avec une précision normalement associée à des marques
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| Tous les espaces entre les panneaux sont étroits et parfaitement alignés, chose que je ne suis pas prêt à affirmer pour tous les manufacturiers. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
La même attention aux petits détails était visible à l'intérieur de la Rio, les plastiques de toutes les surfaces étant de qualité supérieure à ce que l'on retrouve habituellement dans cette catégorie, les commandes semblant avoir été prises dans des modèles plus dispendieux, des recouvrements de tissu robustes mais attrayants un peu partout, et la même impression de qualité de finition que j'ai remarqué à l'extérieur, mettant la touche finale à un habitacle attrayant et joliment bien aménagé.
En fait, la voiture en entier paraît bien, peu importe l'angle sous laquelle on la regarde. J'ai bien quelques aspects favoris, remarquez bien, comme
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| L'un de mes aspects favoris, la façon dont s'inclinent les flancs sculptés des trois-quarts arrière du modèle à cinq portes, et particulièrement la façon dont les feux arrière enveloppent et surmontent les pointes arrière des ailes. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
Bien sûr, j'aime aussi ce que tout le reste de la voiture a l'air, et c'est aussi vrai pour la berline à quatre portes. Son masque avant stylisé, tout comme son profil, apparaissent plus grands qu'ils ne le sont en réalité. Évidemment, la voiture a pris des dimensions plus imposantes que la Rio originale, qui a aidé à lancer la marque Kia à travers le Canada en 1999, mais c'est plus que seulement cela. Elle n'a pas seulement grandi en dimensions, mais également en maturité. Oui, cette petite voiture a bien évolué.