Comportement
Sur l'autoroute, le Range accuse encore cette mollesse caractéristique de sa suspension pneumatique (réglable selon les fonctions). Il faut dire que le véhicule commence à accu-ser de l'âge. On s'en aperçoit par le son des engrenages qui est très audible dans l'habitacle et les bruits aérodynamiques.
Habitacle
Le Range Rover est une familiale à quatre portes reconnaissable à ses grandes vitres tout le tour (ce qui lui donne une visi-bilité hors-pair). Elle affiche peu d'ornementation chromée alors que ses pare-chocs sont peints en noir. C'est à l'intérieur qu'on peut distinguer le luxe évident avec des fauteuils en cuir, bien entendu, et une finition de bois discrète, mais de bon goût. Le tableau de bord massif contient une instrumentation aux cadrans ronds très lisibles. Le centre retient la radio et les commandes du chauffage et de la climatisation en plus d'autres commandes dont l'identification demande une certaine habitude. Un système de navigation est inclus en équipement de série. Entre les deux sièges, il y a une large console où se retrouve le levier de vitesses qui, lorsque poussé vers la droite, obéit en mode manuel à un second parcours cranté. Les commandes des glaces électriques sont aussi au centre, et il faut s'habituer à leur disposi-tion inhabituelle. Les baquets avant réglables en dix directions sont confortables, on s'en doute, alors que les appuie-bras sont également réglables. À l'arrière, trois personnes peuvent prendre place confortablement toujours dans un luxe apparent. Tout comme à l'avant, il y a des appuie-tête à l'arrière. Il n'y a rien de changé sur le modèle 2002 sinon le style des cuirs Orford.
Sur l'autoroute, le Range accuse encore cette mollesse caractéristique de sa suspension pneumatique (réglable selon les fonctions). Il faut dire que le véhicule commence à accu-ser de l'âge. On s'en aperçoit par le son des engrenages qui est très audible dans l'habitacle et les bruits aérodynamiques.
Habitacle
Le Range Rover est une familiale à quatre portes reconnaissable à ses grandes vitres tout le tour (ce qui lui donne une visi-bilité hors-pair). Elle affiche peu d'ornementation chromée alors que ses pare-chocs sont peints en noir. C'est à l'intérieur qu'on peut distinguer le luxe évident avec des fauteuils en cuir, bien entendu, et une finition de bois discrète, mais de bon goût. Le tableau de bord massif contient une instrumentation aux cadrans ronds très lisibles. Le centre retient la radio et les commandes du chauffage et de la climatisation en plus d'autres commandes dont l'identification demande une certaine habitude. Un système de navigation est inclus en équipement de série. Entre les deux sièges, il y a une large console où se retrouve le levier de vitesses qui, lorsque poussé vers la droite, obéit en mode manuel à un second parcours cranté. Les commandes des glaces électriques sont aussi au centre, et il faut s'habituer à leur disposi-tion inhabituelle. Les baquets avant réglables en dix directions sont confortables, on s'en doute, alors que les appuie-bras sont également réglables. À l'arrière, trois personnes peuvent prendre place confortablement toujours dans un luxe apparent. Tout comme à l'avant, il y a des appuie-tête à l'arrière. Il n'y a rien de changé sur le modèle 2002 sinon le style des cuirs Orford.