Dans le cas de la ES 350, cette philosophie s’exprime par une « sveltesse conservatrice » qui, bien que toujours contemporaine et attrayante, n’a rien d’agressif ou de musclé. Bref, on parle d’un look banal qui convient toutefois parfaitement à la raison d’être de la machine.
Je trouve l’aménagement intérieur de la ES 350 plus attrayante, et peut-être plus originale que sa silhouette. La console centrale arquée et le tableau de bord sculpté se marient parfaitement pour former l’attraction principale… et c’est ici que Lexus a accompli son meilleur travail.
L’aménagement et la finition de l’habitacle demeurent impeccables, et les matériaux attestent d’une qualité appropriée. Les garnitures en bois infusent l’environnement spacieux d’une sensation d’élégance contenue. Or, malgré l’habitacle spacieux et le coffre volumineux, la capacité de chargement se voit limitée par l’absence d’une banquette rabattable. On y trouve une ouverture pour passer les skis, mais pas d’accès proprement dit au coffre arrière depuis l’habitacle.
Néanmoins, c’est d’un siège en cuir d’un grand soutien que le conducteur exerce le privilège de diriger les 272 chevaux bien sages de la ES 350.
La transmission puissante et raffinée : un point fort de la ES 350
Manifestement, j’ai maintenant lancé suffisamment de fleurs au raffiné V6 VVT-i à DACT de 3,5 litres et 24 soupapes de la ES 350.
Ce que je n’ai pas mentionné, c’est le punch étonnant de cet impressionnant moteur. Bien que son rendement nominal s’élève à 272 ch à 6 200 r/min et 254 pi-lb de couple 4 700 r/min, la facilité avec laquelle il entraîne les roues avant de la ES 350 nous amène à soupçonner des réserves cachées.
Les départs sont immédiats et résolus, tandis que les reprises surpassent les attentes. Un grognement sourd et distingué accompagne ces corvées aisées, enrichissant d’autant l’expérience, tout comme une boîte automatique à six vitesses des plus discrètes qui exécute sa tâche avec précision et délicatesse.
 |
| Je trouve l’aménagement intérieur de la ES 350 plus attrayante, et peut-être plus originale que sa silhouette.(Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Je trouve l’aménagement intérieur de la ES 350 plus attrayante, et peut-être plus originale que sa silhouette. La console centrale arquée et le tableau de bord sculpté se marient parfaitement pour former l’attraction principale… et c’est ici que Lexus a accompli son meilleur travail.
L’aménagement et la finition de l’habitacle demeurent impeccables, et les matériaux attestent d’une qualité appropriée. Les garnitures en bois infusent l’environnement spacieux d’une sensation d’élégance contenue. Or, malgré l’habitacle spacieux et le coffre volumineux, la capacité de chargement se voit limitée par l’absence d’une banquette rabattable. On y trouve une ouverture pour passer les skis, mais pas d’accès proprement dit au coffre arrière depuis l’habitacle.
Néanmoins, c’est d’un siège en cuir d’un grand soutien que le conducteur exerce le privilège de diriger les 272 chevaux bien sages de la ES 350.
La transmission puissante et raffinée : un point fort de la ES 350
Manifestement, j’ai maintenant lancé suffisamment de fleurs au raffiné V6 VVT-i à DACT de 3,5 litres et 24 soupapes de la ES 350.
Ce que je n’ai pas mentionné, c’est le punch étonnant de cet impressionnant moteur. Bien que son rendement nominal s’élève à 272 ch à 6 200 r/min et 254 pi-lb de couple 4 700 r/min, la facilité avec laquelle il entraîne les roues avant de la ES 350 nous amène à soupçonner des réserves cachées.
Les départs sont immédiats et résolus, tandis que les reprises surpassent les attentes. Un grognement sourd et distingué accompagne ces corvées aisées, enrichissant d’autant l’expérience, tout comme une boîte automatique à six vitesses des plus discrètes qui exécute sa tâche avec précision et délicatesse.
 |
| j’ai maintenant lancé suffisamment de fleurs au raffiné V6 VVT-i à DACT de 3,5 litres et 24 soupapes de la ES 350. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |