Habitacle bien fini
À première vue, le design du tableau de bord de la ES 350 ne donne pas l’impression qu’on y a mis en effort considérable. En vérité, l’âge de la voiture n’aide pas non plus, puisque le bloc d’instruments central a l’air vieillot. N’empêche que je crois que le consommateur typique intéressé par cette voiture apprécie la simplicité du tableau de bord.
Et lorsque vous prenez le temps d’étudier le design, vous remarquerez une certaine cohésion, comme les lignes longeant le bloc d’instruments central pour ensuite suivre une courbe et poursuivre leur trajet dans les panneaux de porte. Quant à la qualité d’assemblage, c’est jour et nuit par rapport à la Camry 2007 à 2011 : tout s’aligne bien et la finition est soignée.
Un aspect que j’aime particulièrement des produits Lexus, réside dans les sièges. Ils profitent d’une fermeté souple s’avérant très soutenante pour les longues distances. Durant un voyage aller-retour de Montréal au New Hampshire, je ne me suis jamais lassé de conduire. Et durant ce voyage, puisque je suis sur le sujet, j’ai observé une moyenne de consommation de 8,5 L/100km, quand même appréciable.
La banquette arrière peut facilement accommoder deux adultes, quoique pas autant pour trois. Il y a suffisamment d’espace pour les jambes, néanmoins le toit bas et la fermeté du coussin au centre font en sorte que la personne assise au milieu se frottera la tête au plafond. Le volume du coffre, à 416 litres, s’est avéré assez spacieux pour le voyage mentionné plus tôt, incluant les valises et les jouets des enfants.
Style élégant
En vérité, la carrosserie de la Lexus ES ne provoque aucunement des montées d’adrénaline. Il s’agit d’une opinion personnelle, mais une chose reste sûre, elle dispose d’une élégance simpliste pouvant être appréciée de bien des gens. De plus, des voitures dotées d’une allure moins que spectaculaire permettent de rouler plus vite sans se faire, euh, remarquer.
L’ensemble Touring ajoute 500 $ à notre voiture d’essai qui regroupe des phares adaptatifs au xénon, des jantes en alliage uniques et un becquet monté sur le coffre. À mon avis, ce dernier n’a pas sa place sur la ES, puisqu’il gâche les lignes élégantes de la voiture.
Et la bonne vieille habitude d’ouvrir le capot afin de montrer le moteur à nos voisins? Oubliez-ça avec la ES 350. À part le goulot du réservoir de lave-glace, tout se dérobe sous des couvercles de plastique, incluant le moteur. Assez plate.
À première vue, le design du tableau de bord de la ES 350 ne donne pas l’impression qu’on y a mis en effort considérable. En vérité, l’âge de la voiture n’aide pas non plus, puisque le bloc d’instruments central a l’air vieillot. N’empêche que je crois que le consommateur typique intéressé par cette voiture apprécie la simplicité du tableau de bord.
 |
| Les sièges de la ES 350 sont parfaits pour parcourir de longues distances. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |
Et lorsque vous prenez le temps d’étudier le design, vous remarquerez une certaine cohésion, comme les lignes longeant le bloc d’instruments central pour ensuite suivre une courbe et poursuivre leur trajet dans les panneaux de porte. Quant à la qualité d’assemblage, c’est jour et nuit par rapport à la Camry 2007 à 2011 : tout s’aligne bien et la finition est soignée.
Un aspect que j’aime particulièrement des produits Lexus, réside dans les sièges. Ils profitent d’une fermeté souple s’avérant très soutenante pour les longues distances. Durant un voyage aller-retour de Montréal au New Hampshire, je ne me suis jamais lassé de conduire. Et durant ce voyage, puisque je suis sur le sujet, j’ai observé une moyenne de consommation de 8,5 L/100km, quand même appréciable.
La banquette arrière peut facilement accommoder deux adultes, quoique pas autant pour trois. Il y a suffisamment d’espace pour les jambes, néanmoins le toit bas et la fermeté du coussin au centre font en sorte que la personne assise au milieu se frottera la tête au plafond. Le volume du coffre, à 416 litres, s’est avéré assez spacieux pour le voyage mentionné plus tôt, incluant les valises et les jouets des enfants.
Style élégant
En vérité, la carrosserie de la Lexus ES ne provoque aucunement des montées d’adrénaline. Il s’agit d’une opinion personnelle, mais une chose reste sûre, elle dispose d’une élégance simpliste pouvant être appréciée de bien des gens. De plus, des voitures dotées d’une allure moins que spectaculaire permettent de rouler plus vite sans se faire, euh, remarquer.
L’ensemble Touring ajoute 500 $ à notre voiture d’essai qui regroupe des phares adaptatifs au xénon, des jantes en alliage uniques et un becquet monté sur le coffre. À mon avis, ce dernier n’a pas sa place sur la ES, puisqu’il gâche les lignes élégantes de la voiture.
Et la bonne vieille habitude d’ouvrir le capot afin de montrer le moteur à nos voisins? Oubliez-ça avec la ES 350. À part le goulot du réservoir de lave-glace, tout se dérobe sous des couvercles de plastique, incluant le moteur. Assez plate.
 |
| Le design extérieur de la ES est élégant, quoique peu excitant. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |