LES BOULEVARDS PLUTÔT QUE LE PARIS-DAKAR
Disons-le tout de suite, c'est le jour et la nuit entre le modèle que nous connaissons depuis deux ans et son prédécesseur. Le constat n'a rien de désolant, bien au contraire. Le LX 450, de triste mémoire, ne brillait pas par ses bonnes manières, affligé qu'il était par sa suspension revêche, son freinage déficient, son moteur poussif et son niveau sonore élevé. La barre n'était pas très haute, c'est le moins qu'on puisse dire.
Remarquez, il y en a qui n'apprennent jamais, mais chez Lexus, on a retenu la leçon et apporté les correctifs nécessaires. Cette fois, le confort, l'insonorisation et la douceur de roulement atteignent les standards de cette marque, dont la réputation n'est plus à faire malgré son jeune âge. Tellement qu'on a l'impression de rouler sur un parquet ciré, un exploit d'autant plus remarquable qu'on parle ici d'un véhicule utilitaire, donc haut sur pattes et chaussé de gros pneus.
Disons-le tout de suite, c'est le jour et la nuit entre le modèle que nous connaissons depuis deux ans et son prédécesseur. Le constat n'a rien de désolant, bien au contraire. Le LX 450, de triste mémoire, ne brillait pas par ses bonnes manières, affligé qu'il était par sa suspension revêche, son freinage déficient, son moteur poussif et son niveau sonore élevé. La barre n'était pas très haute, c'est le moins qu'on puisse dire.
Remarquez, il y en a qui n'apprennent jamais, mais chez Lexus, on a retenu la leçon et apporté les correctifs nécessaires. Cette fois, le confort, l'insonorisation et la douceur de roulement atteignent les standards de cette marque, dont la réputation n'est plus à faire malgré son jeune âge. Tellement qu'on a l'impression de rouler sur un parquet ciré, un exploit d'autant plus remarquable qu'on parle ici d'un véhicule utilitaire, donc haut sur pattes et chaussé de gros pneus.