Or, la qualité, ce n'est pas ce qui fait défaut au plus onéreux des utilitaires sport japonais. D'abord, précisons qu'il ne s'agit pas de rapiéçage, cette fois. Son prédécesseur, le LX 450, n'était rien d'autre qu'un Toyota Land Cruiser qu'on avait déguisé un tant soit peu (et en 4e vitesse) en 4X4 de salon. Le hic, c'est qu'on essayait de faire avaler aux consommateurs qu'il s'agissait d'un tout nouveau modèle; or, cette génération de Land Cruiser était sur le point de terminer son cycle. D'habitude, ce sont les Américains qui excellent dans ce genre de mascarade mais cette fois, c'est un constructeur nippon, et pas le moins réputé, qui a bâclé son travail. Chose certaine, la division de prestige de Toyota ne s'est pas grandie en se laissant aller de la sorte.
Mais au moins, elle n'a pas fait la même erreur deux fois. Certes, le LX 470 demeure un Land Cruiser embourgeoisé, sauf que ce dernier a été renouvelé depuis, de sorte que ça goûte moins le réchauffé, si vous me permettez l'expression. Et comme l'original portant l'emblème Toyota n'est pas vendu au Canada, cela confère une petite touche d'exclusivité à son clone. Exclusivité qui dure depuis sa sortie, mais qui s'apprête toutefois à en prendre pour son rhume avec l'arrivée du nouveau Toyota Sequoia, dont le format se rapproche du LX 470, et qui recourt en plus à la même motorisation.
Mais au moins, elle n'a pas fait la même erreur deux fois. Certes, le LX 470 demeure un Land Cruiser embourgeoisé, sauf que ce dernier a été renouvelé depuis, de sorte que ça goûte moins le réchauffé, si vous me permettez l'expression. Et comme l'original portant l'emblème Toyota n'est pas vendu au Canada, cela confère une petite touche d'exclusivité à son clone. Exclusivité qui dure depuis sa sortie, mais qui s'apprête toutefois à en prendre pour son rhume avec l'arrivée du nouveau Toyota Sequoia, dont le format se rapproche du LX 470, et qui recourt en plus à la même motorisation.