On peut toutefois oublier ces quelques lacunes en se laissant envoûter par le son de l'incroyable chaîne stéréo Mark Levinson à 11 haut-parleurs. Montez le volume au fond et vous ferez trembler les autres VUS ordinaires qui se dressent à vos côtés à un feu rouge.
Assistance électrique
La performance motrice est tout aussi rock 'n roll. Le V6 de 3,3 litres est jumelé au système hybride synergétique de Toyota/Lexus pour générer une puissance totale de 268 chevaux, permettant ainsi au RX 400h de déguerpir comme un lapin apeuré. Le moteur à combustion et le moteur/générateur électrique sont intelligemment contrôlés par une transmission automatique à variation continue qui achemine le couple aux quatre roues. Le système hybride peut ralentir le véhicule de manière électrique, soit dit en passant, ce qui réduit l'usure des freins.
En fait, on retrouve non pas un mais bien deux moteurs électriques à haut rendement. Le moteur thermique, lui, s'active en un éclair dès que le besoin s'en fait sentir, favorisant ainsi des accélérations instantanées et linéaires. C'est un peu comme si le RX 400h était poussé par un vent à la fois puissant et silencieux. Il se déplace avec autorité et surprendra grandement tous ceux qui osent le sous-estimer en raison de sa nature hybride. Dans des conditions optimales, le V6 s'éteint et le véhicule n'émet alors aucune particule polluante dans l'air. Ces instants où la consommation d'essence est nulle sont relativement courts mais fréquents, ce qui, lorsque vient le temps de faire le plein, a un effet positif notable.
Sur la route
Le roulement est très silencieux, même au-delà de la vitesse permise. Le bruit le plus fort qui pénètre dans l'habitacle provient des roues de 18 pouces qui, malgré leur style attrayant, font étroitement connaissance avec les bosses et les trous dans la chaussée.
La direction est légère et ne requière pratiquement aucun effort, rendant le RX 400h facile à stationner malgré une sensation un peu vague. De même, les freins sont efficaces, mais le feedback que renvoie la pédale n'est pas suffisant.
Ce Lexus n'a pas peur de se jeter dans les courbes malgré tous ses kilos, et ce, parce qu'il compte notamment sur le système de gestion intégrée de la dynamique du véhicule (antidérapage) de Toyota. En revanche, on ne peut désactiver ce dernier, ce qui nous empêche de nous amuser sur des routes enneigées et désertes. Dommage.
Assistance électrique
La performance motrice est tout aussi rock 'n roll. Le V6 de 3,3 litres est jumelé au système hybride synergétique de Toyota/Lexus pour générer une puissance totale de 268 chevaux, permettant ainsi au RX 400h de déguerpir comme un lapin apeuré. Le moteur à combustion et le moteur/générateur électrique sont intelligemment contrôlés par une transmission automatique à variation continue qui achemine le couple aux quatre roues. Le système hybride peut ralentir le véhicule de manière électrique, soit dit en passant, ce qui réduit l'usure des freins.
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| La puissance totale de 268 chevaux est acheminée aux quatre roues. |
En fait, on retrouve non pas un mais bien deux moteurs électriques à haut rendement. Le moteur thermique, lui, s'active en un éclair dès que le besoin s'en fait sentir, favorisant ainsi des accélérations instantanées et linéaires. C'est un peu comme si le RX 400h était poussé par un vent à la fois puissant et silencieux. Il se déplace avec autorité et surprendra grandement tous ceux qui osent le sous-estimer en raison de sa nature hybride. Dans des conditions optimales, le V6 s'éteint et le véhicule n'émet alors aucune particule polluante dans l'air. Ces instants où la consommation d'essence est nulle sont relativement courts mais fréquents, ce qui, lorsque vient le temps de faire le plein, a un effet positif notable.
Sur la route
Le roulement est très silencieux, même au-delà de la vitesse permise. Le bruit le plus fort qui pénètre dans l'habitacle provient des roues de 18 pouces qui, malgré leur style attrayant, font étroitement connaissance avec les bosses et les trous dans la chaussée.
La direction est légère et ne requière pratiquement aucun effort, rendant le RX 400h facile à stationner malgré une sensation un peu vague. De même, les freins sont efficaces, mais le feedback que renvoie la pédale n'est pas suffisant.
Ce Lexus n'a pas peur de se jeter dans les courbes malgré tous ses kilos, et ce, parce qu'il compte notamment sur le système de gestion intégrée de la dynamique du véhicule (antidérapage) de Toyota. En revanche, on ne peut désactiver ce dernier, ce qui nous empêche de nous amuser sur des routes enneigées et désertes. Dommage.
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| La direction et les freins du Lexus RX 400h ne sont pas assez communicatifs. |