Carrosserie
Comme le luxe arrive en tête de liste, le client se voit offrir de nombreux équipements. Il y a d'abord les berlines Signature, Executive et Cartier. Et pour ceux qui désirent un meilleur dégagement pour les passagers derrière, les modèles Executive et Cartier sont offerts avec empattement long ; on parle d'un ajout de 6 pouces au châssis qui se fait en usine et transforme les versions L en petite limousine.
Mécanique
Le moteur qui anime la Town Car provient de la même base mécanique que la Continental ou la Grand Marquis. Il s'agit du V8 de 4,6 litres qui développe 220 chevaux dans la version Executive et 235 chevaux dans les versions Signature (avec le groupe Touring Sedan) et Cartier. Plus souple que performante, la méca-nique offre tout de même amplement de puissance pour être très à l'aise lors d'un dépassement tout en maintenant une économie d'essence appréciable.
Comportement
Ceux qui ont vécu les années 70 sur le siège arrière d'une voiture, auront l'impression de revenir dans le passé. Une formule éprouvée (certains diront dépassée) pour la fabrication d'une grosse berline de luxe. De l'espace pour six passagers, un confort enrobé à l'intérieur, une suspension qui donne l'impression de flotter sur un nuage, un coffre caverneux (malheureusement flanqué d'une roue de secours très mal placée). Un véritable « paquebot d'auto-route » qui offre en prime une direction plus précise, dont les modèles des années 70 ne disposaient pas, ainsi qu'une rigidité accrue. Assis à l'arrière, vous pouvez faire Montréal-Québec endormi sans être dérangé par les bruits de la route.
Comme le luxe arrive en tête de liste, le client se voit offrir de nombreux équipements. Il y a d'abord les berlines Signature, Executive et Cartier. Et pour ceux qui désirent un meilleur dégagement pour les passagers derrière, les modèles Executive et Cartier sont offerts avec empattement long ; on parle d'un ajout de 6 pouces au châssis qui se fait en usine et transforme les versions L en petite limousine.
Mécanique
Le moteur qui anime la Town Car provient de la même base mécanique que la Continental ou la Grand Marquis. Il s'agit du V8 de 4,6 litres qui développe 220 chevaux dans la version Executive et 235 chevaux dans les versions Signature (avec le groupe Touring Sedan) et Cartier. Plus souple que performante, la méca-nique offre tout de même amplement de puissance pour être très à l'aise lors d'un dépassement tout en maintenant une économie d'essence appréciable.
Comportement
Ceux qui ont vécu les années 70 sur le siège arrière d'une voiture, auront l'impression de revenir dans le passé. Une formule éprouvée (certains diront dépassée) pour la fabrication d'une grosse berline de luxe. De l'espace pour six passagers, un confort enrobé à l'intérieur, une suspension qui donne l'impression de flotter sur un nuage, un coffre caverneux (malheureusement flanqué d'une roue de secours très mal placée). Un véritable « paquebot d'auto-route » qui offre en prime une direction plus précise, dont les modèles des années 70 ne disposaient pas, ainsi qu'une rigidité accrue. Assis à l'arrière, vous pouvez faire Montréal-Québec endormi sans être dérangé par les bruits de la route.