Mécanique
Mazda offre deux motorisations : un quatre cylindres de 2 litres produisant 125 chevaux, qui répond aux normes ULEV. Souple et discret comme seul peut l'être un 4 cylindres japonais, il souffre cependant d'anémie. C'est un peu mieux avec le V6 de 2,5 litres, qui équipe les versions LX V6 et ES. Mais ses 165 chevaux ne font pas le poids face à la concurrence. Dommage, car il ne s'agit pas d'un vilain moteur, loin s'en faut. Sa plage de puissance est très linéaire et il fait montre d'une grande souplesse. Ceux qui apprécient une conduite un peu plus sportive trouveront chaussure à leur pied avec la boîte manuelle qui, combinée au ronronnement très agréable du moteur et à une suspension sportive, procurera beaucoup de plaisir. La boîte automatique à quatre rapports est aussi offerte en option.
Comportement
Une fois sur la route, la 626 gagne à être connue. La direction est précise et la suspension, bien calibrée. Mais la pédale de frein est spongieuse. Malgré la relative souplesse de sa suspension, la 626 tient bien la route et se montre agile dans les successions de virages en lacets.
Habitacle
Le ramage est, hélas, à la hauteur du plumage. La platitude et le noir règnent en maître. Cela n'enlève rien à la qualité de la finition et de l'assemblage qui, à l'image des autres produits Mazda, sont sans failles. Mais il serait sage, lors de la présentation de la prochaine génération, de « jazzer » un peu l'intérieur pour éliminer l'atmosphère lugubre. Heureusement, avec le lecteur DC de série, vous pouvez agrémenter l'ambiance, et la version ESV6 vous offre même en équipement de série une chaîne audio Bose avec chargeur de six DC. Pour ce qui est des passagers, les fauteuils avant offrent un bon confort, et ceux qui prennent place à l'arrière ont suffisamment d'espace pour être à l'aise.
Mazda offre deux motorisations : un quatre cylindres de 2 litres produisant 125 chevaux, qui répond aux normes ULEV. Souple et discret comme seul peut l'être un 4 cylindres japonais, il souffre cependant d'anémie. C'est un peu mieux avec le V6 de 2,5 litres, qui équipe les versions LX V6 et ES. Mais ses 165 chevaux ne font pas le poids face à la concurrence. Dommage, car il ne s'agit pas d'un vilain moteur, loin s'en faut. Sa plage de puissance est très linéaire et il fait montre d'une grande souplesse. Ceux qui apprécient une conduite un peu plus sportive trouveront chaussure à leur pied avec la boîte manuelle qui, combinée au ronronnement très agréable du moteur et à une suspension sportive, procurera beaucoup de plaisir. La boîte automatique à quatre rapports est aussi offerte en option.
Comportement
Une fois sur la route, la 626 gagne à être connue. La direction est précise et la suspension, bien calibrée. Mais la pédale de frein est spongieuse. Malgré la relative souplesse de sa suspension, la 626 tient bien la route et se montre agile dans les successions de virages en lacets.
Habitacle
Le ramage est, hélas, à la hauteur du plumage. La platitude et le noir règnent en maître. Cela n'enlève rien à la qualité de la finition et de l'assemblage qui, à l'image des autres produits Mazda, sont sans failles. Mais il serait sage, lors de la présentation de la prochaine génération, de « jazzer » un peu l'intérieur pour éliminer l'atmosphère lugubre. Heureusement, avec le lecteur DC de série, vous pouvez agrémenter l'ambiance, et la version ESV6 vous offre même en équipement de série une chaîne audio Bose avec chargeur de six DC. Pour ce qui est des passagers, les fauteuils avant offrent un bon confort, et ceux qui prennent place à l'arrière ont suffisamment d'espace pour être à l'aise.