Fort d’un V6 de 3,7 litres, le CX-9 déploie 273 ch et 270 pi-lb de couple. Accompagnez-le d’une boîte automatique à six rapports profitant d’un mode sport rapide et nerveux, et vous obtenez un VUS qui se comporte comme une voiture quand on le lui demande.
Les chemins en lacets deviennent un jeu d’enfant, même à vive allure. Le Mazda CX-9 réagit très bien quand on le pousse. Avec un roulis somme toute minime, la machine réussit néanmoins à dégager une impression de légèreté, malgré un poids à vide de 2 062 kilos en sa version à TI. On ne parle certainement pas d’un poids plume, mais je n’ai jamais eu la sensation de traîner cette masse supplémentaire sur la route.
Le freinage se montre stable et rehaussé par le Contrôle stabilisateur anticapotage (RSC) sophistiqué de Mazda, un avantage pour tout conducteur se méfiant des embardées au volant de gros modèles. Le dispositif surveille l’angle de roulis et la vitesse des roues, apportant les corrections nécessaires afin que le CX-9 tienne la route en tout temps.
Si vous évaluez mal un virage et arrivez un peu trop vite, le CX-9 réduira momentanément le couple et appliquera les freins afin de maintenir la trajectoire.
Mon coup de cœur? L’habitacle. Les sièges en cuir beige et leurs incrustations gris pâle ainsi que les garnitures de bois beige et le tableau de bord chromé, créent une de ces ambiances chics et luxueuses souvent réservées aux marques plus opulentes. Les lignes de la console centrale, dotée d’un écran tactile et de commandes conviviales, restent simples et nettes. Encore une fois, Mazda nous y a habitués.
On y retrouve tout le tralala, mais il ne tape pas à l’œil. Mon modèle GT avait hérité de tous les gadgets habituels : surveillance des angles morts, caméra de recul, chaîne BOSE, et même un système infoloisirs arrière avec écran escamotable pour les petits.
Certains trouveront que l’étiquette de 50 000 $ (mon modèle d’essai) semble un peu exagérée. Il ne s’agit, après tout, que d’une Mazda. Au début, j’abondais en ce sens.
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| Fort d’un V6 de 3,7 litres, le CX-9 déploie 273 ch et 270 pi-lb de couple. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Les chemins en lacets deviennent un jeu d’enfant, même à vive allure. Le Mazda CX-9 réagit très bien quand on le pousse. Avec un roulis somme toute minime, la machine réussit néanmoins à dégager une impression de légèreté, malgré un poids à vide de 2 062 kilos en sa version à TI. On ne parle certainement pas d’un poids plume, mais je n’ai jamais eu la sensation de traîner cette masse supplémentaire sur la route.
Le freinage se montre stable et rehaussé par le Contrôle stabilisateur anticapotage (RSC) sophistiqué de Mazda, un avantage pour tout conducteur se méfiant des embardées au volant de gros modèles. Le dispositif surveille l’angle de roulis et la vitesse des roues, apportant les corrections nécessaires afin que le CX-9 tienne la route en tout temps.
Si vous évaluez mal un virage et arrivez un peu trop vite, le CX-9 réduira momentanément le couple et appliquera les freins afin de maintenir la trajectoire.
Mon coup de cœur? L’habitacle. Les sièges en cuir beige et leurs incrustations gris pâle ainsi que les garnitures de bois beige et le tableau de bord chromé, créent une de ces ambiances chics et luxueuses souvent réservées aux marques plus opulentes. Les lignes de la console centrale, dotée d’un écran tactile et de commandes conviviales, restent simples et nettes. Encore une fois, Mazda nous y a habitués.
On y retrouve tout le tralala, mais il ne tape pas à l’œil. Mon modèle GT avait hérité de tous les gadgets habituels : surveillance des angles morts, caméra de recul, chaîne BOSE, et même un système infoloisirs arrière avec écran escamotable pour les petits.
Certains trouveront que l’étiquette de 50 000 $ (mon modèle d’essai) semble un peu exagérée. Il ne s’agit, après tout, que d’une Mazda. Au début, j’abondais en ce sens.
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| Les lignes de la console centrale, dotée d’un écran tactile et de commandes conviviales, restent simples et nettes. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |