À l’attaque dans un virage serré, elle a un petit quelque chose de plus que toutes les autres décapotables… du moins, de toutes celles que j’ai conduites. Elle n’offre peut-être pas le raffinement d’une Boxster ou la présence imposante d’une SLK ou encore le muscle d’une Mustang GT, mais elle fait le poids sur la route là où il le faut. Avec ses roues arrière motrices, la MX-5 chigne un peu des fois évidemment, vu sa carrosserie et son train arrière légers et quasi inexistants en général. Or, grâce précisément à cette compacité, la maîtriser devient aussi facile qu’entraîner Lindsay Lohan dans les bas fonds (encore) avec une Marlboro et une bouteille de Jack…
À l’intérieur (et je vous promets de toucher à l’extérieur un moment donné), un environnement spartiate… et c’est parfait comme ça. On dirait même un habitacle dénudé, avec un bloc d’instruments hyper simple, une radio dépouillée (sans navigation, écran tactile ou fla-fla quelconque), un levier de vitesses d’une bonne grosseur et un frein à main. Voilà, c’est tout ce qu’il nous faut. Ah oui, et deux sièges. Ta-dam. La perfection. On peut conduire maintenant?
Non, mais sérieusement, la MX-5 brille vraiment en matière de conduite. Elle réussit comme roadster « de conducteur » justement à cause de sa simplicité. Il n’y a que toi, la voiture et le bitume, et c’est pourquoi elle m’apparaît comme la deux-places par excellence.
Oui, son coffre est minuscule et oui, il n’y a à peu près aucun rangement à l’intérieur, mais là n’est pas la mission de la MX-5… et ne l’a jamais été, en fait. On ne parle pas d’une voiture familiale, et elle ne se fait pas d’illusions à cet égard. Une deux-places à l’état pur, destinée aux chemins de campagne déserts où le soleil plombe et la radio tonitrue.
Et sur ces chemins de campagne déserts, vous aurez de la gueule (oui, enfin, je vais parler de son style). La MX-5 Miata a conservé pas mal la même silhouette depuis le tout début. Alors que dans les années 90 elle se voulait légèrement plus longue et épurée, pour 2011 elle a pris du galon avec des épaules musclées et un sourire décidément béat qui ne fait qu’accentuer son charme. Toit rigide ou souple, peu importe, la MX-5 présente des lignes sportives.
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| On dirait un habitacle dénudé, avec un bloc d’instruments hyper simple, une radio dépouillée, un levier de vitesses d’une bonne grosseur et un frein à main. Voilà, c’est tout ce qu’il nous faut. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
À l’intérieur (et je vous promets de toucher à l’extérieur un moment donné), un environnement spartiate… et c’est parfait comme ça. On dirait même un habitacle dénudé, avec un bloc d’instruments hyper simple, une radio dépouillée (sans navigation, écran tactile ou fla-fla quelconque), un levier de vitesses d’une bonne grosseur et un frein à main. Voilà, c’est tout ce qu’il nous faut. Ah oui, et deux sièges. Ta-dam. La perfection. On peut conduire maintenant?
Non, mais sérieusement, la MX-5 brille vraiment en matière de conduite. Elle réussit comme roadster « de conducteur » justement à cause de sa simplicité. Il n’y a que toi, la voiture et le bitume, et c’est pourquoi elle m’apparaît comme la deux-places par excellence.
Oui, son coffre est minuscule et oui, il n’y a à peu près aucun rangement à l’intérieur, mais là n’est pas la mission de la MX-5… et ne l’a jamais été, en fait. On ne parle pas d’une voiture familiale, et elle ne se fait pas d’illusions à cet égard. Une deux-places à l’état pur, destinée aux chemins de campagne déserts où le soleil plombe et la radio tonitrue.
Et sur ces chemins de campagne déserts, vous aurez de la gueule (oui, enfin, je vais parler de son style). La MX-5 Miata a conservé pas mal la même silhouette depuis le tout début. Alors que dans les années 90 elle se voulait légèrement plus longue et épurée, pour 2011 elle a pris du galon avec des épaules musclées et un sourire décidément béat qui ne fait qu’accentuer son charme. Toit rigide ou souple, peu importe, la MX-5 présente des lignes sportives.
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| Oui, son coffre est minuscule et oui, il n’y a à peu près aucun rangement à l’intérieur, mais là n’est pas la mission de la MX-5. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |