Derrière, par contre, l’empattement court du châssis limite l’espace libre au niveau des jambes et des pieds. De plus, la courbure du pavillon, qui ajoute à l’élégance du design de la carrosserie, réduit la hauteur libre. Or, si vos passagers sont de jeunes enfants, ces contraintes d’espace ne poseront peut-être pas trop d’ennuis. Cependant, s’il s’agit de vos adolescents en pleine croissance qui, de surcroît, se retrouvent coincés derrière un conducteur et un passager de grande taille, attendez-vous à des relations familiales tendues...
Les points faibles...
Pour faciliter l’accès aux places arrière, le fabricant a taillé une échancrure dans la carrosserie au niveau supérieur des portières. Du coup, il a rendu l’extrémité de la portière pointue; une pointe qui se situe au niveau de l’abdomen d’un adulte ou du visage d’un jeune enfant! Détail à revoir...
Un autre irritant de la Mazda3 demeure son coffre à bagages : il est petit. Son volume utile figure parmi les moins généreux de toutes les berlines compactes. D’ailleurs, son ouverture courte et étroite se révèle très contraignante lorsqu’il faut charger un gros colis. Dans pareil cas, il vaut mieux l’introduirecharger par l’habitacle en sacrifiant la banquette qui, fort heureusement, a des dossiers asymétriques rabattables.
Enfin, la silhouette crève-coeur de la carrosserie, basse et élégamment profilée, réduit le champ de vision arrière. Une tare commune à bien des voitures modernes. Il faut donc porter une attention accrue lorsqu’on effectue des manoeuvres en marche arrière.
Pas si « de base » que ça!
En revanche, l’équipement de cette compacte se révèle plutôt complet. Le fabricant n’offre que deux options pour la GX : la boîte automatique et un climatiseur (1 195 $). Cependant, il n’a pas lésiné sur les sacs et les rideaux gonflables.
De plus, la chaîne audio offre une qualité de reproduction sonore très convenable, compte tenu du prix de la voiture. Elle est même compatible avec les baladeurs, comme l’iPod. Le conducteur bénéficie aussi de rétroviseurs extérieurs électriques, d’un verrouillage central électrique des portières et des lève-glaces électriques. De quoi faire croire qu’il ne s’agit pas vraiment d’un modèle de base! Et ça, c’est le point crucial pour l’acheteur visé.
photo:Matthieu Lambert
Les points faibles...
Pour faciliter l’accès aux places arrière, le fabricant a taillé une échancrure dans la carrosserie au niveau supérieur des portières. Du coup, il a rendu l’extrémité de la portière pointue; une pointe qui se situe au niveau de l’abdomen d’un adulte ou du visage d’un jeune enfant! Détail à revoir...
Un autre irritant de la Mazda3 demeure son coffre à bagages : il est petit. Son volume utile figure parmi les moins généreux de toutes les berlines compactes. D’ailleurs, son ouverture courte et étroite se révèle très contraignante lorsqu’il faut charger un gros colis. Dans pareil cas, il vaut mieux l’introduirecharger par l’habitacle en sacrifiant la banquette qui, fort heureusement, a des dossiers asymétriques rabattables.
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| Le coffre de la Mazda3 figure parmi les moins volumineux de sa catégorie. |
Enfin, la silhouette crève-coeur de la carrosserie, basse et élégamment profilée, réduit le champ de vision arrière. Une tare commune à bien des voitures modernes. Il faut donc porter une attention accrue lorsqu’on effectue des manoeuvres en marche arrière.
Pas si « de base » que ça!
En revanche, l’équipement de cette compacte se révèle plutôt complet. Le fabricant n’offre que deux options pour la GX : la boîte automatique et un climatiseur (1 195 $). Cependant, il n’a pas lésiné sur les sacs et les rideaux gonflables.
De plus, la chaîne audio offre une qualité de reproduction sonore très convenable, compte tenu du prix de la voiture. Elle est même compatible avec les baladeurs, comme l’iPod. Le conducteur bénéficie aussi de rétroviseurs extérieurs électriques, d’un verrouillage central électrique des portières et des lève-glaces électriques. De quoi faire croire qu’il ne s’agit pas vraiment d’un modèle de base! Et ça, c’est le point crucial pour l’acheteur visé.
photo:Matthieu Lambert
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